Lyrics to Asphalte
On ne sait plus ce qu'on perd
On ne sait plus ce qu'on perd à...
à tant jouer les chiens fous
à repousser les yeux doux
On s'est mis au peu-ra...
Dans le creux des poings qu'on serre trop
Les regrets d'une tête blonde
Dans le rétro, la ligne blanche
Tant d'années à faire l'con
Puis quelques-unes à l'faire croire
J'écrase le mégot d'un d'ces trucs, ferme les paupières, attends la playa
Sirène de flics soudain s'arrête : bagarre en face, des mecs sous baïda
Ne lâcheront rien d'la force qu'ils mettent à ne pas s'aimer, et moi qui tachycarde
Reprends mon souffle entre deux pelles, elle se retourne, elle est bien latina
Elle glisse sa main dans la mienne, et ses doigts qui m'explorent
Je sens monter la fièvre, elle m'allume, je la mords
L'oeil troublé qui cligne de loin, mes potos sourient
J'imagine qu'on a quitté l'bar juste après cette photo souvenir
Que je retrouve c'matin dans ma poche. Le tram n'arrive pas, gros soupir
Faudra comprendre pourquoi j'm'envole à l'aube d'un dimanche cocooning
J'marche la tête à l'envers, j'croise mes grands-frères chauve-souris
Je retrouve un pense-bête sous ma porte. Ecrit en grand "Vincent, faut vivre !"
Ca n'a pas grand sens d'chercher d'l'enfance, être un semblant d'insoumis
Si seules de froides cendres et des chancelances m'attendent en chambre à l'Ibis
Est-ce ça ma tangente à l'ennui ?
On ne sait plus ce qu'on perd
On ne sait plus ce qu'on perd à...
à tant jouer les chiens fous
à repousser les yeux doux
On s'est mis au peu-ra...
Dans le creux des poings qu'on serre trop
Les regrets d'une tête blonde
Dans le rétro, la ligne blanche
Tant d'années à faire l'con
Puis quelques-unes à l'faire croire
J'ai tenté l'amour, puis tenté l'aveu qu'on s'y cassait la gueule
Ouais c'est fou comme à deux, on s'plait dans la boue, la bien marécageuse
Ouais je chante tout le temps la même merde
Et je chante tout le temps que j'chante la même merde
Je crois que c'est Maxime, un dimanche, qui m'a dit : "Veence tout ça ça s'alimente
On fait des boucles on a l'amour du sample
Sur la route du feu t'as d'jà versé l'essence
Et puis sur celle des fous y a pas seulement les sangles
J'te montre pas mes bras mais j'connais la descente
Si c'est pas toi c'est tous tes proches qui en chient"
Regard à gauche, regard à droite
Le mec me parle tout en servant ses ients-cli
Beaucoup trop beau pour cacher ses larmes
Des types hagards, lui c'est la blanche, puis lui c'est la brune
Le hall de la banque, eux c'est les muscles de la voiture allemande
Elle c'est la pute, lui c'est la manche, eux c'est la rue
On ne sait plus ce qu'on perd
On ne sait plus ce qu'on perd à...
à tant jouer les chiens fous
à repousser les yeux doux
On s'est mis au peu-ra...
Dans le creux des poings qu'on serre trop
Les regrets d'une tête blonde
Dans le rétro, la ligne blanche
Tant d'années à faire l'con
Puis quelques-unes à l'faire croire
On ne sait plus ce qu'on perd à...
à tant jouer les chiens fous
à repousser les yeux doux
On s'est mis au peu-ra...
Dans le creux des poings qu'on serre trop
Les regrets d'une tête blonde
Dans le rétro, la ligne blanche
Tant d'années à faire l'con
Puis quelques-unes à l'faire croire
J'écrase le mégot d'un d'ces trucs, ferme les paupières, attends la playa
Sirène de flics soudain s'arrête : bagarre en face, des mecs sous baïda
Ne lâcheront rien d'la force qu'ils mettent à ne pas s'aimer, et moi qui tachycarde
Reprends mon souffle entre deux pelles, elle se retourne, elle est bien latina
Elle glisse sa main dans la mienne, et ses doigts qui m'explorent
Je sens monter la fièvre, elle m'allume, je la mords
L'oeil troublé qui cligne de loin, mes potos sourient
J'imagine qu'on a quitté l'bar juste après cette photo souvenir
Que je retrouve c'matin dans ma poche. Le tram n'arrive pas, gros soupir
Faudra comprendre pourquoi j'm'envole à l'aube d'un dimanche cocooning
J'marche la tête à l'envers, j'croise mes grands-frères chauve-souris
Je retrouve un pense-bête sous ma porte. Ecrit en grand "Vincent, faut vivre !"
Ca n'a pas grand sens d'chercher d'l'enfance, être un semblant d'insoumis
Si seules de froides cendres et des chancelances m'attendent en chambre à l'Ibis
Est-ce ça ma tangente à l'ennui ?
On ne sait plus ce qu'on perd
On ne sait plus ce qu'on perd à...
à tant jouer les chiens fous
à repousser les yeux doux
On s'est mis au peu-ra...
Dans le creux des poings qu'on serre trop
Les regrets d'une tête blonde
Dans le rétro, la ligne blanche
Tant d'années à faire l'con
Puis quelques-unes à l'faire croire
J'ai tenté l'amour, puis tenté l'aveu qu'on s'y cassait la gueule
Ouais c'est fou comme à deux, on s'plait dans la boue, la bien marécageuse
Ouais je chante tout le temps la même merde
Et je chante tout le temps que j'chante la même merde
Je crois que c'est Maxime, un dimanche, qui m'a dit : "Veence tout ça ça s'alimente
On fait des boucles on a l'amour du sample
Sur la route du feu t'as d'jà versé l'essence
Et puis sur celle des fous y a pas seulement les sangles
J'te montre pas mes bras mais j'connais la descente
Si c'est pas toi c'est tous tes proches qui en chient"
Regard à gauche, regard à droite
Le mec me parle tout en servant ses ients-cli
Beaucoup trop beau pour cacher ses larmes
Des types hagards, lui c'est la blanche, puis lui c'est la brune
Le hall de la banque, eux c'est les muscles de la voiture allemande
Elle c'est la pute, lui c'est la manche, eux c'est la rue
On ne sait plus ce qu'on perd
On ne sait plus ce qu'on perd à...
à tant jouer les chiens fous
à repousser les yeux doux
On s'est mis au peu-ra...
Dans le creux des poings qu'on serre trop
Les regrets d'une tête blonde
Dans le rétro, la ligne blanche
Tant d'années à faire l'con
Puis quelques-unes à l'faire croire
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