Lyrics to Au Bar Des Platanes
Des rides aux front des petits vieux,
Comme pour viser leurs casquettes .
Assis sur des bancs plus vieux qu'eux
Attendant que la mort s'arrête .
Et à leurs pieds des chiens sans yeux
Paupiéres lourdes de trop de siestes .
Et le clocher qui sonne Dieu,
Des yeux derriéres chaques fenêtres .
Je suis un enfant des villages,
De ces coins où l'on c'est encore
Le nom de chacuns des visages,
L'odeur de chaques boutons d'or .
Même si la vie m'emporte loin,
Même si Paris me fait la cour,
Même si j'ai de l'or dans les mains
Je reviendrais toujours . . .
Au bar des Platanes .
Prendre l'apéro au coutoir,
Pour ne jamais perdre mon âme,
Pour ne pas me tromper d'histoire .
Au bar des Platanes
Où le temps s'égraine en olive,
Où vivre mieux,
Comme dit Lagard,
C'est mieux que vivre .
Le bourdonnement des tonnelles
Et les baisers d'adolescents
Sur des bouches aux goût de groseilles .
Le bruit du liére dans le vent,
Une feuille tombée d'un chêne
Qu'on à coller sur un cahier .
Des petits écoliers sans haine,
Rien que des rires à la récré .
Je suis un enfant des villages
Où s'évader du quotidien
Ce n'est pas partir en voyage
Mais juste quelques verres de vin .
Même si la vie m'emporte loin,
Même si Paris me fait la cour,
Même si j'ai de l'or dans les mains
Je reviendrais toujours . . .
Au bar des Platanes .
Prendre l'apéro au coutoir
Et si j'y raméne une femme
Je lui apprendrais ma mémoire .
Au bar des Platanes
Où on se soûle a l'amitié,
Où aimer mieux,
Comme dit Lagard,
C'est mieux qu'aimer .
Au bar des Platanes . . .
(Merci à gitane45 pour cettes paroles)
Comme pour viser leurs casquettes .
Assis sur des bancs plus vieux qu'eux
Attendant que la mort s'arrête .
Et à leurs pieds des chiens sans yeux
Paupiéres lourdes de trop de siestes .
Et le clocher qui sonne Dieu,
Des yeux derriéres chaques fenêtres .
Je suis un enfant des villages,
De ces coins où l'on c'est encore
Le nom de chacuns des visages,
L'odeur de chaques boutons d'or .
Même si la vie m'emporte loin,
Même si Paris me fait la cour,
Même si j'ai de l'or dans les mains
Je reviendrais toujours . . .
Au bar des Platanes .
Prendre l'apéro au coutoir,
Pour ne jamais perdre mon âme,
Pour ne pas me tromper d'histoire .
Au bar des Platanes
Où le temps s'égraine en olive,
Où vivre mieux,
Comme dit Lagard,
C'est mieux que vivre .
Le bourdonnement des tonnelles
Et les baisers d'adolescents
Sur des bouches aux goût de groseilles .
Le bruit du liére dans le vent,
Une feuille tombée d'un chêne
Qu'on à coller sur un cahier .
Des petits écoliers sans haine,
Rien que des rires à la récré .
Je suis un enfant des villages
Où s'évader du quotidien
Ce n'est pas partir en voyage
Mais juste quelques verres de vin .
Même si la vie m'emporte loin,
Même si Paris me fait la cour,
Même si j'ai de l'or dans les mains
Je reviendrais toujours . . .
Au bar des Platanes .
Prendre l'apéro au coutoir
Et si j'y raméne une femme
Je lui apprendrais ma mémoire .
Au bar des Platanes
Où on se soûle a l'amitié,
Où aimer mieux,
Comme dit Lagard,
C'est mieux qu'aimer .
Au bar des Platanes . . .
(Merci à gitane45 pour cettes paroles)
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