Lyrics to Ce Que L'on S'aime (feat. Sylvain Duthu)
J’aurais préféré pour toi, juste inverser le cour des choses
J’aurais aimé, et toi, une main tendue, une rose
J’aurais aimé de toi, la certitude d’un geste
Simplement quand ça n’va pas, ne pas se fuir comme la peste
Ils devaient être déboussolés de voir que l’on tenait quand même
Et nous, les premiers étonnés de récolter ce que l'on sème
Ce que l’on s’aime
J’aurais préféré, ma foi, éviter nos sombres démences
Et maintes et maintes fois, oublier d’partir en vacances
En vacances de toi, et comme l’amitié nous rattrape
Nous rattrape à chaque fois, autant tenir quand ça dérape
Ils ont été déboussolés de voir que l’on tenait quand même
Et nous, les premiers étonnés de récolter ce que l'on sème
Ce que l’on s’aime
Ce que l’on s’aime
J’aurais bien voulu, tu sais, tenir le cap, sauver les murs
Courir sans m’arrêter, ne pas frissonner sous l’armure
Et j’aurais voulu tu sais, la longue traversée tranquille
J’aurais même imaginé, ne jamais atteindre une rive
Ils ont été déboussolés de voir que l’on tenait quand même
Et nous, les premiers étonnés de récolter ce que l'on sème
Ce que l’on s’aime
Ce que l’on s’aime
J’aurais aimé, tu sais, éviter nos fausses mesures
J’aurais même préféré, de nous, une lettre d’injure
J’aurais voulu parfois, oui, t’étrangler aux quatre vents
Te serrer dans mes bras, ha ça, je l’ai voulu souvent
Ils ont été déboussolés de voir que l’on tenait quand même
Et nous, les premiers étonnés de récolter ce que l'on sème
Ils ont été déboussolés de voir que l’on tenait quand même
Et nous, les premiers étonnés de récolter ce que l'on sème
Ce que l’on s’aime
Ce que l’on s’aime
Ce que l’on s’aime
Ce que l’on s’aime
J’aurais aimé, et toi, une main tendue, une rose
J’aurais aimé de toi, la certitude d’un geste
Simplement quand ça n’va pas, ne pas se fuir comme la peste
Ils devaient être déboussolés de voir que l’on tenait quand même
Et nous, les premiers étonnés de récolter ce que l'on sème
Ce que l’on s’aime
J’aurais préféré, ma foi, éviter nos sombres démences
Et maintes et maintes fois, oublier d’partir en vacances
En vacances de toi, et comme l’amitié nous rattrape
Nous rattrape à chaque fois, autant tenir quand ça dérape
Ils ont été déboussolés de voir que l’on tenait quand même
Et nous, les premiers étonnés de récolter ce que l'on sème
Ce que l’on s’aime
Ce que l’on s’aime
J’aurais bien voulu, tu sais, tenir le cap, sauver les murs
Courir sans m’arrêter, ne pas frissonner sous l’armure
Et j’aurais voulu tu sais, la longue traversée tranquille
J’aurais même imaginé, ne jamais atteindre une rive
Ils ont été déboussolés de voir que l’on tenait quand même
Et nous, les premiers étonnés de récolter ce que l'on sème
Ce que l’on s’aime
Ce que l’on s’aime
J’aurais aimé, tu sais, éviter nos fausses mesures
J’aurais même préféré, de nous, une lettre d’injure
J’aurais voulu parfois, oui, t’étrangler aux quatre vents
Te serrer dans mes bras, ha ça, je l’ai voulu souvent
Ils ont été déboussolés de voir que l’on tenait quand même
Et nous, les premiers étonnés de récolter ce que l'on sème
Ils ont été déboussolés de voir que l’on tenait quand même
Et nous, les premiers étonnés de récolter ce que l'on sème
Ce que l’on s’aime
Ce que l’on s’aime
Ce que l’on s’aime
Ce que l’on s’aime