Lyrics to César
Je sais toujours où le trouver
C'est normal il ne bouge jamais
Et quand le bonheur se fait rare
César me raconte son histoire
Il me dit de sa voix grave d'arbre âgé
Même si je n'ai pas beaucoup voyagé
La pays est venu à moi
Ce n'est pas de la langue de bois
Au temps de ma splendeur
Des hommes sans foi ni coeur
Sont venus m'arracher
à la forêt
Ils m'on mis sur une place
Où pisse le chiens qui passent
Où les pigeons
Sur moi se soulageait
Ils regardaient à peine
En allant noyer leurs peine
Dans le seul abreuvoir
Du quartier
J'entaidais leurs cris de haine
De villageois qui plaignent
Du bordel
Que font les étranger
Je sais toujours où le trouver
C'est normal il ne bouge jamais
Et quand le bonheur se fait rare
César me raconte son histoire
Sous le béton mes racines
Dans les courbes assassines
Comme une menace
Grandissaient
S'épanouissant de colère
Privées de l'eau et de l'air
Que tout arbre
Est en droit d'exiger
Elles fendirent le pavé
Sans se laisser entraver
Par les cris des passants
Assiégés
On fit venir une benne
On jeta mon corps d'ébène
Dans la fosse
où tu m'a retrouvé
je sais .....
Il me dit
De sa voix grave d'arbre âgé
Même si je n'ai pas beaucoup
Voyagé
Un ami est venu à moi
Ça n'est pas de langue de bois
(Merci à Nickolas Martin pour cettes paroles)
C'est normal il ne bouge jamais
Et quand le bonheur se fait rare
César me raconte son histoire
Il me dit de sa voix grave d'arbre âgé
Même si je n'ai pas beaucoup voyagé
La pays est venu à moi
Ce n'est pas de la langue de bois
Au temps de ma splendeur
Des hommes sans foi ni coeur
Sont venus m'arracher
à la forêt
Ils m'on mis sur une place
Où pisse le chiens qui passent
Où les pigeons
Sur moi se soulageait
Ils regardaient à peine
En allant noyer leurs peine
Dans le seul abreuvoir
Du quartier
J'entaidais leurs cris de haine
De villageois qui plaignent
Du bordel
Que font les étranger
Je sais toujours où le trouver
C'est normal il ne bouge jamais
Et quand le bonheur se fait rare
César me raconte son histoire
Sous le béton mes racines
Dans les courbes assassines
Comme une menace
Grandissaient
S'épanouissant de colère
Privées de l'eau et de l'air
Que tout arbre
Est en droit d'exiger
Elles fendirent le pavé
Sans se laisser entraver
Par les cris des passants
Assiégés
On fit venir une benne
On jeta mon corps d'ébène
Dans la fosse
où tu m'a retrouvé
je sais .....
Il me dit
De sa voix grave d'arbre âgé
Même si je n'ai pas beaucoup
Voyagé
Un ami est venu à moi
Ça n'est pas de langue de bois
(Merci à Nickolas Martin pour cettes paroles)
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