Lyrics to C'est Quand
La peinture s'effrite
Sous le poids de mes mains
A la f'nêtre où le train
S'arrête et prend la fuite
En laissant derrière lui
Des wagons de chaussure
Que le temps a noirci
Que le temps défigure
Au rythme de leur vie
Qui bat en démesure
Spectateur abêti
Moi je n'en cherche qu'une
Que les jours m'ont repris
Au fil de mes lacunes
Mais elle laisse ma peau
Encore sur le carreau
C'est quand que tu reviens
C'est quand que tu reviens
Et je vois tomber la pluie
Sur le quai des putains
Qui recouvrent leurs jambes
A exciter les chiens
Sous les yeux des marquis
Elles avancent leurs seins
Et réveillent des cris
Réveillent les embruns
Que le corps contient
Comme un vase trop plein
Je pourrais tous les tuer
Je pourrais les brûler
A les voir saliver
Je te vois dans leurs mains
C'est quand que tu reviens
C'est quand que tu reviens
Et j'attends comme un con
Sur le bord de ma chaise
Que les heures aient raison
Et fassent tomber ma fièvre
Encore une journée
A me tourner la tête
A travers la lumière
De ma pauvre fenêtre
J'ai encore attendu
Que son regard s'arrête
Mais l'absence me tue
Et je paye ma dette
(Merci à Lou pour cettes paroles)
Sous le poids de mes mains
A la f'nêtre où le train
S'arrête et prend la fuite
En laissant derrière lui
Des wagons de chaussure
Que le temps a noirci
Que le temps défigure
Au rythme de leur vie
Qui bat en démesure
Spectateur abêti
Moi je n'en cherche qu'une
Que les jours m'ont repris
Au fil de mes lacunes
Mais elle laisse ma peau
Encore sur le carreau
C'est quand que tu reviens
C'est quand que tu reviens
Et je vois tomber la pluie
Sur le quai des putains
Qui recouvrent leurs jambes
A exciter les chiens
Sous les yeux des marquis
Elles avancent leurs seins
Et réveillent des cris
Réveillent les embruns
Que le corps contient
Comme un vase trop plein
Je pourrais tous les tuer
Je pourrais les brûler
A les voir saliver
Je te vois dans leurs mains
C'est quand que tu reviens
C'est quand que tu reviens
Et j'attends comme un con
Sur le bord de ma chaise
Que les heures aient raison
Et fassent tomber ma fièvre
Encore une journée
A me tourner la tête
A travers la lumière
De ma pauvre fenêtre
J'ai encore attendu
Que son regard s'arrête
Mais l'absence me tue
Et je paye ma dette
(Merci à Lou pour cettes paroles)
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