Lyrics to C'était Mieux Après
Finalement une fois qu'on l'a fait,
On s'est aperçu qu'en effet,
C'était mieux après.
Combien d'amours ratées par heure ?
Combien d'instants loupés par peur,
Parce qu'on ne se sent jamais prêt ?
À tout remettre au lendemain,
Les mots, les courriers ou les trains,
On devient nos propres barrières.
À force de trop hésiter,
À force de tout éviter,
L'occasion va passer,
On s'empêche d'avancer.
Finalement une fois qu'on l'a fait,
On s'est aperçu qu'en effet,
C'était mieux après.
La peur est une sale habitude,
Qui fait du pire une certitude,
De tous nos projets des regrets.
Le doute est une contrefaçon,
Qui déguise les "possibles" en "non",
Et tous les "plus tard" en "jamais".
À force de trop hésiter,
À force de tout éviter,
L'occasion va passer,
La passion va casser.
Et finalement, tu t'es lancé,
Sous la pluie tu l'as embrassée,
Et c'était mieux après.
Demain est un joli pays,
À chaque minute, tu le franchis,
Et chaque seconde est une frontière.
La nostalgie est une manie,
Qui fait d'hier un aujourd'hui,
Elle met ta vie en marche arrière.
Et on se noie dans des verres d'eau,
À trop tourner autours du pot,
On pourrait s'il le faut,
Repartir à zéro.
Finalement une fois qu'on l'a fait,
On s'est aperçu qu'en effet,
C'était mieux après.
Combien d'amours ratés par heure ?
Combien d'instants loupés par peur,
Parce qu'on ne se sent jamais prêt ?
À tout remettre au lendemain,
Les mots, les courriers ou les trains,
On devient nos propres barrières.
Et on se noie dans des verres d'eau,
À trop tourner autours du pot,
On pourrait s'il le faut,
Repartir à zéro.
Quand finalement, tu t'es lancé,
Ta vie tu l'as recommencée,
Et c'était mieux après.
Oui, finalement, tu t'es lancé,
Ta vie tu l'as recommencée,
Et c'était mieux après.
On s'est aperçu qu'en effet,
C'était mieux après.
Combien d'amours ratées par heure ?
Combien d'instants loupés par peur,
Parce qu'on ne se sent jamais prêt ?
À tout remettre au lendemain,
Les mots, les courriers ou les trains,
On devient nos propres barrières.
À force de trop hésiter,
À force de tout éviter,
L'occasion va passer,
On s'empêche d'avancer.
Finalement une fois qu'on l'a fait,
On s'est aperçu qu'en effet,
C'était mieux après.
La peur est une sale habitude,
Qui fait du pire une certitude,
De tous nos projets des regrets.
Le doute est une contrefaçon,
Qui déguise les "possibles" en "non",
Et tous les "plus tard" en "jamais".
À force de trop hésiter,
À force de tout éviter,
L'occasion va passer,
La passion va casser.
Et finalement, tu t'es lancé,
Sous la pluie tu l'as embrassée,
Et c'était mieux après.
Demain est un joli pays,
À chaque minute, tu le franchis,
Et chaque seconde est une frontière.
La nostalgie est une manie,
Qui fait d'hier un aujourd'hui,
Elle met ta vie en marche arrière.
Et on se noie dans des verres d'eau,
À trop tourner autours du pot,
On pourrait s'il le faut,
Repartir à zéro.
Finalement une fois qu'on l'a fait,
On s'est aperçu qu'en effet,
C'était mieux après.
Combien d'amours ratés par heure ?
Combien d'instants loupés par peur,
Parce qu'on ne se sent jamais prêt ?
À tout remettre au lendemain,
Les mots, les courriers ou les trains,
On devient nos propres barrières.
Et on se noie dans des verres d'eau,
À trop tourner autours du pot,
On pourrait s'il le faut,
Repartir à zéro.
Quand finalement, tu t'es lancé,
Ta vie tu l'as recommencée,
Et c'était mieux après.
Oui, finalement, tu t'es lancé,
Ta vie tu l'as recommencée,
Et c'était mieux après.