Lyrics to Chopin
Te souviens-tu Emilia,
P'tite s?ur de Mazurkas
Quand nous dansions toi et moi
Sur les sirènes de Varsovie
Et mes mains glissent sur le piano,
Impossibles amours imbroglio
Gravées sur le clavier
A mon âme enlacées, à tout jamais
Comment chasser l'image de Constance,
Qui me ronge, me dérange
Et son silence me déchire
Une Valse Brillante
Pour ultime souvenir
Et mes mains glissent sur le piano,
Effleurent les touches en crescendo
J'voudrais qu'elles glissent sur ta peau,
Qu'elles te dessinent un concerto
Te reverrais-je encore Maria
Dans les faubourgs de Marienbad
Belle amante insolente, si absente
Marche Funèbre et que cesse la tourmente
Et mes mains glissent sur le piano
Dérivent, ivres de tempo
Mes doigts de velours se déchaînent
Quand une Aurore passionnée m'enchaîne
Et de Préludes en Ballades,
Et de Palma à Nohant
J'ai de la fièvre dans tout le corps,
Je sens le naufrage de mon âme
Et pourtant, pourtant
J'en veux toujours encore, encore...
Et mes mains glissent sur le piano
Tremblent livides âmes sanglots
Sonates brèves et turbulentes
Agitez mes nuits transparentes
Adieu Londres et Jenny
Je m'en retourne à Paris
Je suis malade, inconsolable
Je suis un aigle fatigué
Les mains de Delphine sur le piano
Effleurent les touches en decrescendo
Dérivent triste lamento,
Me jouent le tout dernier concerto........
Et je meurs, indompté...
(Merci à Béatrice Piekosz pour cettes paroles)
P'tite s?ur de Mazurkas
Quand nous dansions toi et moi
Sur les sirènes de Varsovie
Et mes mains glissent sur le piano,
Impossibles amours imbroglio
Gravées sur le clavier
A mon âme enlacées, à tout jamais
Comment chasser l'image de Constance,
Qui me ronge, me dérange
Et son silence me déchire
Une Valse Brillante
Pour ultime souvenir
Et mes mains glissent sur le piano,
Effleurent les touches en crescendo
J'voudrais qu'elles glissent sur ta peau,
Qu'elles te dessinent un concerto
Te reverrais-je encore Maria
Dans les faubourgs de Marienbad
Belle amante insolente, si absente
Marche Funèbre et que cesse la tourmente
Et mes mains glissent sur le piano
Dérivent, ivres de tempo
Mes doigts de velours se déchaînent
Quand une Aurore passionnée m'enchaîne
Et de Préludes en Ballades,
Et de Palma à Nohant
J'ai de la fièvre dans tout le corps,
Je sens le naufrage de mon âme
Et pourtant, pourtant
J'en veux toujours encore, encore...
Et mes mains glissent sur le piano
Tremblent livides âmes sanglots
Sonates brèves et turbulentes
Agitez mes nuits transparentes
Adieu Londres et Jenny
Je m'en retourne à Paris
Je suis malade, inconsolable
Je suis un aigle fatigué
Les mains de Delphine sur le piano
Effleurent les touches en decrescendo
Dérivent triste lamento,
Me jouent le tout dernier concerto........
Et je meurs, indompté...
(Merci à Béatrice Piekosz pour cettes paroles)
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