Lyrics to De Gibraltar
Quand je partis de mon village
tout le monde savait mon âge
les muscles tendus à 18 ans
et le sourire d'un enfant
je partais accomplir mon rêve
ici notre existence est brève
dans la sueur et dans le sang
ramassant le coton l'or blanc
le bus qui roule dans la poussière
pour moi c'était comme un poème
la peur au ventre à chaque frontière
mais la vie est phénomène
les poches pleines de dollar
donnés par tous les vieillards
de mon village désargenté
je leur ai tout emprunté
et j'ai laissé ma peau noire
sur la greve de gibraltar
et j'ai laissé ma peau noire
sur la grève de gibraltar
mais vers le monde occidental
je suis happé et c'est normal
je veux travailler me libérer
de l'argent des émigrés
sur le bord de ma péninsule
il ne restait qu'une virgule
à franchir le détroit le vent
si loin du coton dans les champs
et j'ai laissé ma peau noire
sur la greve de gibraltar
et j'ai laissé ma peau noire
sur la grève de gibraltar
quand le zodiak a démarré
on m'avait dit assied toi là
il faut les pieds et poings liés
car on avait peur de moi
quand le canot s'est retourné
j'avais le sourire aux lèvres
la traversée c'était un rêve
les pieds liés dans l'eau glacé
et j'ai laissé ma peau noire
sur la greve de gibraltar
et j'ai laissé ma peau noire
sur la grève de gibraltar
et j'ai laissé ma peau noire
et j'ai laissé ma peau noire
(Merci à surfOz pour cettes paroles)
tout le monde savait mon âge
les muscles tendus à 18 ans
et le sourire d'un enfant
je partais accomplir mon rêve
ici notre existence est brève
dans la sueur et dans le sang
ramassant le coton l'or blanc
le bus qui roule dans la poussière
pour moi c'était comme un poème
la peur au ventre à chaque frontière
mais la vie est phénomène
les poches pleines de dollar
donnés par tous les vieillards
de mon village désargenté
je leur ai tout emprunté
et j'ai laissé ma peau noire
sur la greve de gibraltar
et j'ai laissé ma peau noire
sur la grève de gibraltar
mais vers le monde occidental
je suis happé et c'est normal
je veux travailler me libérer
de l'argent des émigrés
sur le bord de ma péninsule
il ne restait qu'une virgule
à franchir le détroit le vent
si loin du coton dans les champs
et j'ai laissé ma peau noire
sur la greve de gibraltar
et j'ai laissé ma peau noire
sur la grève de gibraltar
quand le zodiak a démarré
on m'avait dit assied toi là
il faut les pieds et poings liés
car on avait peur de moi
quand le canot s'est retourné
j'avais le sourire aux lèvres
la traversée c'était un rêve
les pieds liés dans l'eau glacé
et j'ai laissé ma peau noire
sur la greve de gibraltar
et j'ai laissé ma peau noire
sur la grève de gibraltar
et j'ai laissé ma peau noire
et j'ai laissé ma peau noire
(Merci à surfOz pour cettes paroles)
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