Lyrics to De L'homme à L'animal
Quand le rouge se noie tout au fond de ses yeux,
teintés de gris, teintés de noir
mais jamais plus teintés de bleu.
Le ciel se voile au-dessus, ce soir.
Quand l'air se déchaîne jusqu'au bout de mes ailes,
l'orage pose ses dernières forces pour que l'envol redevienne frêle.
Et le vent souffle...
si fort, ce soir.
Et de l'Homme à l'Animal,
il va, il vient,
L'orage s'installe dans ses mains, dans ses gestes,
les mouvements s'emballent, il étouffe
et je reste là, à le voir manquer d'air.
Et de l'Homme à l'Animal,
il va, il vient
et le doute s'installe dans ses mains dans ses gestes,
les mouvements s'emballent, il en crève
et je reste là, juste au bord de l'Enfer...
A-a-a-a
Les crédences autour de moi m'accompagnent.
Et dans l'escorte qui sera mienne, il me désarme et puis me gagne.
Et je leur cède... à cœur ouvert.
Les larmes coulent dans les flammes et les éteignent.
Après les larmes vient le silence,
il dit que reste,
il dit qu'il m'aime...
Et je l'accueille, à bras ouvert... (Ouuuuh...)
Et de l'Homme à l'Animal,
il va, il vient,
L'orage s'installe dans ses mains, dans ses gestes,
les mouvements s'emballent, il étouffe
et je reste là, à le voir manquer d'air.
Et de l'Homme à l'Animal,
il va, il vient
et le doute s'installe dans ses mains dans ses gestes,
les mouvements s'emballent, il en crève
et je reste là, juste au bord de l'Enfer...
A-a-a-a-a-a (Aaaahh...)
Ah - ouuh - ah - ooooh
Le silence m'a déposée là sur le bord.
Je m'échoue là en bord de mer,
entre les algues et les baleines.
Et le Soleil, lui... reprend son règne.
Il me caresse, l'air de rien, il me ramène...
Ses mains sont douces,
ses mains sont pleines de précautions et de poèmes et de l'orage.
Je suis la Reine...
Et de l'Homme à l'Animal,
il va, il vient,
le doute s'installe dans ses mains dans ses gestes,
les mouvements s'emballent, il en crève
mais je reste là, juste au bord de l'Enfer...
O-o-o-oh o-oooh a-ao-aaah-oh
teintés de gris, teintés de noir
mais jamais plus teintés de bleu.
Le ciel se voile au-dessus, ce soir.
Quand l'air se déchaîne jusqu'au bout de mes ailes,
l'orage pose ses dernières forces pour que l'envol redevienne frêle.
Et le vent souffle...
si fort, ce soir.
Et de l'Homme à l'Animal,
il va, il vient,
L'orage s'installe dans ses mains, dans ses gestes,
les mouvements s'emballent, il étouffe
et je reste là, à le voir manquer d'air.
Et de l'Homme à l'Animal,
il va, il vient
et le doute s'installe dans ses mains dans ses gestes,
les mouvements s'emballent, il en crève
et je reste là, juste au bord de l'Enfer...
A-a-a-a
Les crédences autour de moi m'accompagnent.
Et dans l'escorte qui sera mienne, il me désarme et puis me gagne.
Et je leur cède... à cœur ouvert.
Les larmes coulent dans les flammes et les éteignent.
Après les larmes vient le silence,
il dit que reste,
il dit qu'il m'aime...
Et je l'accueille, à bras ouvert... (Ouuuuh...)
Et de l'Homme à l'Animal,
il va, il vient,
L'orage s'installe dans ses mains, dans ses gestes,
les mouvements s'emballent, il étouffe
et je reste là, à le voir manquer d'air.
Et de l'Homme à l'Animal,
il va, il vient
et le doute s'installe dans ses mains dans ses gestes,
les mouvements s'emballent, il en crève
et je reste là, juste au bord de l'Enfer...
A-a-a-a-a-a (Aaaahh...)
Ah - ouuh - ah - ooooh
Le silence m'a déposée là sur le bord.
Je m'échoue là en bord de mer,
entre les algues et les baleines.
Et le Soleil, lui... reprend son règne.
Il me caresse, l'air de rien, il me ramène...
Ses mains sont douces,
ses mains sont pleines de précautions et de poèmes et de l'orage.
Je suis la Reine...
Et de l'Homme à l'Animal,
il va, il vient,
le doute s'installe dans ses mains dans ses gestes,
les mouvements s'emballent, il en crève
mais je reste là, juste au bord de l'Enfer...
O-o-o-oh o-oooh a-ao-aaah-oh
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