Lyrics to L'âge D'or
C'est l'époque des pansements et du mercurochrome.
L'époque des mamans, j'ai peur des fantômes.
Le temps de jeux de mains et des bâtons de glaces.
Des oreilles de lapins sur les photos de classes.
L'époque des mocassins qu'on t'oblige à porter.
Lorsque tous tes copains ont des baskets au pied.
Le temps des trousses de billes et des boules de chewing-gums.
Les petits playmobiles deviendront des bonhommes.
Pourtant, pourtant, les tranches de pain d'épices.
Me manque, maintenant que, les années me trahissent.
Avec nos grands cartables de soldats de plombs.
Nous récitions nos fables sans y mettre le ton.
La confiserie du coin était la terre promise.
Nos caries valaient bien ces quelques friandises.
On collectionnait tous les vignettes Panini.
On se soufflait en douce les rimes des poésies.
Dans le dos des copains quelques poissons d'avril.
On marquait nos destins à l'encre indélébile.
Pourtant, pourtant, les bâtons de réglisse.
Me manque, maintenant que, les années me trahissent.
C'est des cordes à sauter, de l'encre pleins les doigts.
Des pyjamas rayés, de la barde à papa.
Des vélos sans roulette et des cabanes en bois.
Des vendeuses d'allumettes, des il était une fois.
C'est des fautes d'orthographe, des histoires de tintin.
Des boulettes et des gaffes, des balades en patin.
Des toboggans rouillés et des luges en cartons.
Des ballons prisonniers, des nuages en coton.
C'est des marchands de sables, des châteaux de fortunes.
C'est des capitaines Flam, et des Pierrot la lune.
Des bottes de chats bottés, des cahiers de vacances.
C'est des meringues au goûter, et des crêpes du dimanche.
Des clowns du cirque Gruss, des masques de Zorro.
Des cumulonimbus, et des chapi chapo.
C'est des maisons hantées, des champs de tournesols.
C'est nos prénoms gravés, sur les bancs..... de l'école.
(Merci à Vince pour cettes paroles)
L'époque des mamans, j'ai peur des fantômes.
Le temps de jeux de mains et des bâtons de glaces.
Des oreilles de lapins sur les photos de classes.
L'époque des mocassins qu'on t'oblige à porter.
Lorsque tous tes copains ont des baskets au pied.
Le temps des trousses de billes et des boules de chewing-gums.
Les petits playmobiles deviendront des bonhommes.
Pourtant, pourtant, les tranches de pain d'épices.
Me manque, maintenant que, les années me trahissent.
Avec nos grands cartables de soldats de plombs.
Nous récitions nos fables sans y mettre le ton.
La confiserie du coin était la terre promise.
Nos caries valaient bien ces quelques friandises.
On collectionnait tous les vignettes Panini.
On se soufflait en douce les rimes des poésies.
Dans le dos des copains quelques poissons d'avril.
On marquait nos destins à l'encre indélébile.
Pourtant, pourtant, les bâtons de réglisse.
Me manque, maintenant que, les années me trahissent.
C'est des cordes à sauter, de l'encre pleins les doigts.
Des pyjamas rayés, de la barde à papa.
Des vélos sans roulette et des cabanes en bois.
Des vendeuses d'allumettes, des il était une fois.
C'est des fautes d'orthographe, des histoires de tintin.
Des boulettes et des gaffes, des balades en patin.
Des toboggans rouillés et des luges en cartons.
Des ballons prisonniers, des nuages en coton.
C'est des marchands de sables, des châteaux de fortunes.
C'est des capitaines Flam, et des Pierrot la lune.
Des bottes de chats bottés, des cahiers de vacances.
C'est des meringues au goûter, et des crêpes du dimanche.
Des clowns du cirque Gruss, des masques de Zorro.
Des cumulonimbus, et des chapi chapo.
C'est des maisons hantées, des champs de tournesols.
C'est nos prénoms gravés, sur les bancs..... de l'école.
(Merci à Vince pour cettes paroles)
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