Lyrics to Le Rat D' La Ville Et Le Rat Des Champs
Dans le temps le rat d' la ville invita son cousin le rat des champs à faire un p'tit graillou dans son loft préféré : les égouts !
Mais avant toute chose, je vous présente les deux engins.
Le rat d' la ville :
Un p'tit zef de première, surnommé le rastaquouère, un ancien quartier-maître chiqueur à bord d'un sous-marin à voile et qui a été viré de son mail sur les bêtes noires à cause d'avoir été au boutok avec la souris du commandant. Bien qu'il ait un ?il qui dit merde à l'autre, c' con là emballait sec dans les chenilles sur le cours Dajot pendant la foire expo. Oh, il devait avoir sûrement d'autres atouts, d'ailleurs on le surnomme aussi le raqueu ! Tu vois ce que je veux dire ! Il avait une souris dans chaque égout de la ville et elles étaient tellement pondeuses qu'en s'assoyant sur le bas de son pyjama, elles se retrouvaient toutes en cloque dès le premier soir, cinglé complètement ! Donc il avait des ratouss partout... Oh, lui c'est un foiriguel, un chailleur, il taillait toujours en jav' . Et c'est aussi un ancien claqueur de doigts devant un juke-box, qu'est ce qu'il foutait dans son col pour pas un rond, il était souvent complètement schlass. Oh, lui c'était la totale ! À donf quoaa ! Mais malin comme un furet, il avait déconsigné toutes ses bouteilles d'aveugle qu'il avait entassées dans son trou à rat, dong à l'aise Blaise, il pouvait enfin aller au cinetoche voir son film préféré, t' sais pas quoi ? Les vacances de Monsieur Mulot
- Culturellement parlant, c'est pas mal du tout -Tranquillos, au poaal quoaa !
Le rat des champs :
Un Yannick très sage (comme tous les rats de Recoucou), ses parents voulaient qu'il soit scaphandrier d'eau de vaisselle, mais il a décidé d'être danseur de l'opéra de Trifouilly les rats. Il a été viré vite fait parce qu'il était plutôt un petit rat de l'opérette et aussi trop spécialisé dans la gousse d'ail... Quand il jouait à 1, 2, 3, bique ou bouc, c'était plutôt bique, quoaa... Complètement déprimé et ratatigné, il s'était retiré à la campagne, de l'autre côté de la mer, où il vivait assez cloîtré chez lui. Allongé presque toute la journ' ! Et le voisinage... Ça allait bon train, et ça allait bon train : eh, t'as vu, le rat vit au lit ! C'est vrai qu'il n'est pas bien vu dans son village, d'ailleurs on le surnomme le ratiboisé parce que pour aller chercher à manger il se ballade toujours en rollers et en tutu ! Hé, comment veux-tu ! Hé, comment veux-tu, Dingo complètement quoaa ! Il avait totalement dépéri, perdu 50 grammes dans chaque bazouille, il était devenu épais comme un lapin de trois semaines, il n'avait même plus besoin qu'une raie à son pyjama et avait la raie du cul en relief ! maig' comme un coucou quoaa ! En flux, il avait au milieu de son museau un repas froid énorme, un tarbouif à piquer des gaufres et à fumer peinard sous la douche ! Bon, au bout d'un moment, il a quand même repris du poil de la bête parce qu'il avait ouvert une petite boutique, une fabrique de tableaux qu'il vendait vachement chérot à des rats américains médusés par tant d'originalité. Hé, tu sais pas ce que c'était ? Non. Hé, tu sais pas ce que c'était ? Non ! Ben, je vais t le dire ! Ah ! Des fouille-merde cloués en quinconce sur de l'Isorel ! c'est fou complètement ! Bon, alors évidemment avec tout le blé qu'il a gagné, le p'tit rat pouvait enfin se payer son plat préféré : des couleuvres à la sauce d'orties, tac au poil ! il prit donc la Satos pour aller en ville voir son cousin...
Ça fait une paye qu'il s'étaient pas vus, contents comme tout les deux p'tites têtes de bois d'jus commencèrent à casser la croûte. Le tit Zef avait préparé une case au four avec des restachou des égouts, du rata quoi, beurk ! Le campagnol n'aimant pas ça se réfugia dans la boisson, et le raqueu de le suivre, fastoche pour lui il avait été deux fois à la dérat' . Et ça y allait, et ça y allait ! Temps mort ! dit le Yannick qui commençait à être dans le lagen et le rastaquouère de surenchérir : Eh, oh la musaraigne, tu mets ta gueule à jour ou ça va barder ! Oh, le ratiboisé n'en pouvant plus retourna à toute berzingue chez lui retrouver ses fouille-merde et surtout son graillou préféré : les couleuvres à la sauce d'orties.
Morale : les égouts et les couleuvres, ça se discute pas, chacun voit !
Allez, salut les poteaux !
Mais avant toute chose, je vous présente les deux engins.
Le rat d' la ville :
Un p'tit zef de première, surnommé le rastaquouère, un ancien quartier-maître chiqueur à bord d'un sous-marin à voile et qui a été viré de son mail sur les bêtes noires à cause d'avoir été au boutok avec la souris du commandant. Bien qu'il ait un ?il qui dit merde à l'autre, c' con là emballait sec dans les chenilles sur le cours Dajot pendant la foire expo. Oh, il devait avoir sûrement d'autres atouts, d'ailleurs on le surnomme aussi le raqueu ! Tu vois ce que je veux dire ! Il avait une souris dans chaque égout de la ville et elles étaient tellement pondeuses qu'en s'assoyant sur le bas de son pyjama, elles se retrouvaient toutes en cloque dès le premier soir, cinglé complètement ! Donc il avait des ratouss partout... Oh, lui c'est un foiriguel, un chailleur, il taillait toujours en jav' . Et c'est aussi un ancien claqueur de doigts devant un juke-box, qu'est ce qu'il foutait dans son col pour pas un rond, il était souvent complètement schlass. Oh, lui c'était la totale ! À donf quoaa ! Mais malin comme un furet, il avait déconsigné toutes ses bouteilles d'aveugle qu'il avait entassées dans son trou à rat, dong à l'aise Blaise, il pouvait enfin aller au cinetoche voir son film préféré, t' sais pas quoi ? Les vacances de Monsieur Mulot
- Culturellement parlant, c'est pas mal du tout -Tranquillos, au poaal quoaa !
Le rat des champs :
Un Yannick très sage (comme tous les rats de Recoucou), ses parents voulaient qu'il soit scaphandrier d'eau de vaisselle, mais il a décidé d'être danseur de l'opéra de Trifouilly les rats. Il a été viré vite fait parce qu'il était plutôt un petit rat de l'opérette et aussi trop spécialisé dans la gousse d'ail... Quand il jouait à 1, 2, 3, bique ou bouc, c'était plutôt bique, quoaa... Complètement déprimé et ratatigné, il s'était retiré à la campagne, de l'autre côté de la mer, où il vivait assez cloîtré chez lui. Allongé presque toute la journ' ! Et le voisinage... Ça allait bon train, et ça allait bon train : eh, t'as vu, le rat vit au lit ! C'est vrai qu'il n'est pas bien vu dans son village, d'ailleurs on le surnomme le ratiboisé parce que pour aller chercher à manger il se ballade toujours en rollers et en tutu ! Hé, comment veux-tu ! Hé, comment veux-tu, Dingo complètement quoaa ! Il avait totalement dépéri, perdu 50 grammes dans chaque bazouille, il était devenu épais comme un lapin de trois semaines, il n'avait même plus besoin qu'une raie à son pyjama et avait la raie du cul en relief ! maig' comme un coucou quoaa ! En flux, il avait au milieu de son museau un repas froid énorme, un tarbouif à piquer des gaufres et à fumer peinard sous la douche ! Bon, au bout d'un moment, il a quand même repris du poil de la bête parce qu'il avait ouvert une petite boutique, une fabrique de tableaux qu'il vendait vachement chérot à des rats américains médusés par tant d'originalité. Hé, tu sais pas ce que c'était ? Non. Hé, tu sais pas ce que c'était ? Non ! Ben, je vais t le dire ! Ah ! Des fouille-merde cloués en quinconce sur de l'Isorel ! c'est fou complètement ! Bon, alors évidemment avec tout le blé qu'il a gagné, le p'tit rat pouvait enfin se payer son plat préféré : des couleuvres à la sauce d'orties, tac au poil ! il prit donc la Satos pour aller en ville voir son cousin...
Ça fait une paye qu'il s'étaient pas vus, contents comme tout les deux p'tites têtes de bois d'jus commencèrent à casser la croûte. Le tit Zef avait préparé une case au four avec des restachou des égouts, du rata quoi, beurk ! Le campagnol n'aimant pas ça se réfugia dans la boisson, et le raqueu de le suivre, fastoche pour lui il avait été deux fois à la dérat' . Et ça y allait, et ça y allait ! Temps mort ! dit le Yannick qui commençait à être dans le lagen et le rastaquouère de surenchérir : Eh, oh la musaraigne, tu mets ta gueule à jour ou ça va barder ! Oh, le ratiboisé n'en pouvant plus retourna à toute berzingue chez lui retrouver ses fouille-merde et surtout son graillou préféré : les couleuvres à la sauce d'orties.
Morale : les égouts et les couleuvres, ça se discute pas, chacun voit !
Allez, salut les poteaux !
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