Lyrics to L'envolée
Planqués à deux, sous les étoiles,
Couchés dans l'herbe, on se dévoile
Le nez au ciel sur nos futurs.
Aucun secret entre nos mains,
Comme si nous étions deux frangins,
Moi je parle d'elle, toi, d'aventure.
On avait 15 ans à peine
Quand les coeurs se dévoilent
Et les passions déchaînent
Et moi je ne souviens plus ;
Et toi tu ne souviens pas,
Comme si nous étions inconnus ;
Comme si la vie ratait parfois.
Le plus bel âge est une image
Que tout le monde ne reçoit pas.
Je chante ; tu vis nos futurs.
Deux frères, un père furent ton naufrage
Que la Camarde prit au passage.
Je pose mes ailes,
Toi, tu ratures.
On avait 20 ans à peine,
Quand la vie sonne injuste
Et la mort fait des siennes.
Et moi je ne rappelle plus ;
Et toi tu ne me rappelles pas,
Comme toutes ces années superflues ;
Comme si la vie cachait parfois.
Mais moi je ne me souviens plus ;
Mais toi tu ne te souviens pas.
A coups d'essure ;
Un bout de barre,
Nos verres se croisent
Dix ans plus tard.
Sourire aux lèvres,
On se rappelle :
Comme si de rien,
Comme si hier,
Comme c'était bien,
Comme de galère.
Je m'aventure ;
Toi, tu parles d'elle
On a 30 ans à peine ;
On se jure c'est promis
Je t'aime, à la prochaine !
Et moi je ne me souviens plus ;
Et toi tu ne te souviens pas,
Comme si nous étions inconnus ;
Comme si la vie manquait parfois.
Et moi je ne me souviens plus ;
Et toi tu ne te souviens pas,
Comme si nous étions inconnu
Au moins jusqu'à la prochaine fois ;
A moi aussi, tu manques ... parfois...
(Merci à Jeckyll pour cettes paroles)
Couchés dans l'herbe, on se dévoile
Le nez au ciel sur nos futurs.
Aucun secret entre nos mains,
Comme si nous étions deux frangins,
Moi je parle d'elle, toi, d'aventure.
On avait 15 ans à peine
Quand les coeurs se dévoilent
Et les passions déchaînent
Et moi je ne souviens plus ;
Et toi tu ne souviens pas,
Comme si nous étions inconnus ;
Comme si la vie ratait parfois.
Le plus bel âge est une image
Que tout le monde ne reçoit pas.
Je chante ; tu vis nos futurs.
Deux frères, un père furent ton naufrage
Que la Camarde prit au passage.
Je pose mes ailes,
Toi, tu ratures.
On avait 20 ans à peine,
Quand la vie sonne injuste
Et la mort fait des siennes.
Et moi je ne rappelle plus ;
Et toi tu ne me rappelles pas,
Comme toutes ces années superflues ;
Comme si la vie cachait parfois.
Mais moi je ne me souviens plus ;
Mais toi tu ne te souviens pas.
A coups d'essure ;
Un bout de barre,
Nos verres se croisent
Dix ans plus tard.
Sourire aux lèvres,
On se rappelle :
Comme si de rien,
Comme si hier,
Comme c'était bien,
Comme de galère.
Je m'aventure ;
Toi, tu parles d'elle
On a 30 ans à peine ;
On se jure c'est promis
Je t'aime, à la prochaine !
Et moi je ne me souviens plus ;
Et toi tu ne te souviens pas,
Comme si nous étions inconnus ;
Comme si la vie manquait parfois.
Et moi je ne me souviens plus ;
Et toi tu ne te souviens pas,
Comme si nous étions inconnu
Au moins jusqu'à la prochaine fois ;
A moi aussi, tu manques ... parfois...
(Merci à Jeckyll pour cettes paroles)
Songwriters:
Publisher:
Powered by LyricFind
Publisher:
Powered by LyricFind