Lyrics to Lueurs
Eteignez les lumières, j'viens chanter mes pogos
Sur les rails de l'Enfer, l'océan est Congo
Bien avant ma mort, mes rimes et mes vers me dévorent
J'enferme le monde dans mon corps jusqu'à c'que les mots me débordent
Transforme la chair en verbe
La douleur en art, l'ombre en lumière
J'ai traversé les mers, j'en ai pleuré des rivières
Vous finirez seuls et vaincus
Dans vos délires de sang impurs
Et la haine que vos bouches écument
N'aura plus prise sur nos vécus
Ronronne l'Histoire et elle cale
Et les cales enchaînées dans un bateau fait d'un bois
Fait d'un arbre où l'on pend d'étranges fruits distillés et broyés
Des cadavres empilés, des pelletés de charniers
Regardez les exodes, papillons volent et voguent
Regardez devant l'Homme comment Dieu se dérobe
Comme il pleure en tornade nos ruines et nos guerres
Comme il pleure chaque soir un soleil incendiaire
J'peux plus respirer
Leurs genoux sur mon cou : leur permis de tuer
Le réel est violent comme une jungle à Calais
Un Congo Océan, tant d'offenses à laver
J'essuie les crachats
J'arrache des murs de France les sourires Banania
Et nos enfants qui viennent seront dignes et debout
Debout ! Dignes ! dignes et debout
Je connais les entailles, les encoches de nos coeurs
Si leurs ténèbres m'assaillent, j'irai chanter mes lueurs
« Invincible est notre ardeur »
« L'éclat de nos vies entêtées »
« Invincible est notre ardeur »
« Eblouira vos en-dedans »
« Invincible est notre ardeur »
« L'éclat de nos vies entêtées »
« Invincible est notre ardeur »
« Eblouira vos en-dedans »
Sur les rails de l'Enfer, l'océan est Congo
Bien avant ma mort, mes rimes et mes vers me dévorent
J'enferme le monde dans mon corps jusqu'à c'que les mots me débordent
Transforme la chair en verbe
La douleur en art, l'ombre en lumière
J'ai traversé les mers, j'en ai pleuré des rivières
Vous finirez seuls et vaincus
Dans vos délires de sang impurs
Et la haine que vos bouches écument
N'aura plus prise sur nos vécus
Ronronne l'Histoire et elle cale
Et les cales enchaînées dans un bateau fait d'un bois
Fait d'un arbre où l'on pend d'étranges fruits distillés et broyés
Des cadavres empilés, des pelletés de charniers
Regardez les exodes, papillons volent et voguent
Regardez devant l'Homme comment Dieu se dérobe
Comme il pleure en tornade nos ruines et nos guerres
Comme il pleure chaque soir un soleil incendiaire
J'peux plus respirer
Leurs genoux sur mon cou : leur permis de tuer
Le réel est violent comme une jungle à Calais
Un Congo Océan, tant d'offenses à laver
J'essuie les crachats
J'arrache des murs de France les sourires Banania
Et nos enfants qui viennent seront dignes et debout
Debout ! Dignes ! dignes et debout
Je connais les entailles, les encoches de nos coeurs
Si leurs ténèbres m'assaillent, j'irai chanter mes lueurs
« Invincible est notre ardeur »
« L'éclat de nos vies entêtées »
« Invincible est notre ardeur »
« Eblouira vos en-dedans »
« Invincible est notre ardeur »
« L'éclat de nos vies entêtées »
« Invincible est notre ardeur »
« Eblouira vos en-dedans »