Lyrics to Mauvais Perdant
Écoute mon histoire, mon récit
Prends donc un verre à boire, car j’ai désalé
Comme une feuille rouge, un trimaran
Une heure où rien ne bouge, en remarquant
Que j’étais déjà parti
J’aurais voulu t’écrire, bien avant
Mais je n’avais rien à dire, rien que désolé
Que tu aimes une autre bouche, tu feras sans
Mes deux mains qui te touchent, comme un calmant
Et t’en voudras toute la vie
Je suis mauvais perdant, claque la porte en partant
À victoire facile, défaite amère, mais fini ton verre
Écoute jusqu’au bout, mon récit
Je redeviens un loup, méchant loup de mer
Oui ces verres fumés cachent, mes sanglots bleus
Ne m’attends que le cachot ou le bon Dieu
Embrasse toute la fratrie
Ta malle et tes valises, sont ici
Vas-t-en où va la brise, et sans bride de verre
Je veux que tout le monde sache, la fille de l’air
Que tu es et que des lâches, et sans manière
Te laver ton déjà dit
Je suis mauvais perdant, claque la porte en partant
À victoire facile, défaite amère, mais fini ton verre
Je parie que t’as toujours fait semblant
Attention fragile, je ne veux la guerre, ni de dernier verre
C’est la fin de l’histoire, du récit
Était-ce la mer à boire, l’heure de vérité
Ces havres de fortune, à fleur de peau
Va donc où va la brume, sans oripeau
Et n’oublie pas qu’on s’oublie
Prends donc un verre à boire, car j’ai désalé
Comme une feuille rouge, un trimaran
Une heure où rien ne bouge, en remarquant
Que j’étais déjà parti
J’aurais voulu t’écrire, bien avant
Mais je n’avais rien à dire, rien que désolé
Que tu aimes une autre bouche, tu feras sans
Mes deux mains qui te touchent, comme un calmant
Et t’en voudras toute la vie
Je suis mauvais perdant, claque la porte en partant
À victoire facile, défaite amère, mais fini ton verre
Écoute jusqu’au bout, mon récit
Je redeviens un loup, méchant loup de mer
Oui ces verres fumés cachent, mes sanglots bleus
Ne m’attends que le cachot ou le bon Dieu
Embrasse toute la fratrie
Ta malle et tes valises, sont ici
Vas-t-en où va la brise, et sans bride de verre
Je veux que tout le monde sache, la fille de l’air
Que tu es et que des lâches, et sans manière
Te laver ton déjà dit
Je suis mauvais perdant, claque la porte en partant
À victoire facile, défaite amère, mais fini ton verre
Je parie que t’as toujours fait semblant
Attention fragile, je ne veux la guerre, ni de dernier verre
C’est la fin de l’histoire, du récit
Était-ce la mer à boire, l’heure de vérité
Ces havres de fortune, à fleur de peau
Va donc où va la brume, sans oripeau
Et n’oublie pas qu’on s’oublie