Lyrics to Observe
C'est le drame mama, t'aurais aimé que tes fils soient un océan de sagesse comme le Dalaï-lama,
mais quand ma jeunesse a l'arme à l'?il c'est qu'elle est à feu,
liée au pompe comme l'armée française avec le Famas.
Pour le terr-terr ça joue des coudes comme Likoud et Hamas.
C'est 1 pour la rue 2 & 3 pour la caillasse. Pas de messes basses nos musiques fusionnent avec l'espace.
Ramasse la maille qu'on voit combien le monde est vaste des Bahamas au Fuji-Yama.
Issy la vision est serrée ça parle embrouille et quar-pla, mon R.A.P. rappelle à la discipline et quand les énergies sont à plats, pour régler nos mômes on les secoue comme des Bretlings.
L'esprit hanté par la matière ça passe du Clio au BM et dans le Merco le feeling penche pour la Bentley.
Embrasse la liberté, que l'Etat ne t'enlace pas de ses bracelets, ils ont dépouillé nos terres, couillé jusqu'à la musique
aujourd'hui Eminem hier Elvis Presley. Que des sourires aiguisés des majors au Midem. Mais dans la rue qui nous aime ?
Des States à l'Europe, l'arnaque est idem, les frères n'ont jamais vu les 40 Acres et une mule.
Ici l'intégration est un simulacre éviter la misère stimule.
Tu veux m'situer, au Maghreb j'ai ma place parmi les mulâtres, couleur d'ocre, couleur d'ébène, Gnawa,
ma musique à mes racines se consacre, observe, les frontières africaines tracées à la règle,
la même pour le Moyen-Orient et les terres amérindiennes.
On réalise des rêves, d'autres s'inventent des vies que tu marches dans la droiture ou en dévies, c'qui est écrit est écrit. Croyant ou athée, on est des atomes parmi des atomes, une anatomie parmi des milliards. Le résultat amène à rester simple, l'humilité n'a jamais rendu ignare.
Mon son est pour les hommes libres, mon son est pour les bagnards ;
ceux qui lisent dans les regards avec une part de méfiance, parfois les mains tendues sont des poignards.
J'donne des conseils comme j'en saisis, gardé tout pour moi-même aurait taché ma foi d'un blasphème, une hérésie.
92 réseau connecté à l'infini les limites de mon département Hauts d'Seine n'ont pas muré mon esprit.
Ma ville à l'allure calme et sereine, mais polluée de la politique à la déchetterie,
rien n'est acquis les p'tits ont la mentalité des maquis, avec précision préparent les rimes comme Sachimis et Makis.
Black Musachi, chaque jour est une bataille on entretient les énergies comme au Tai-chi,
mais la mentalité est muay-thaï. Pas de magie, c'est avec foi qu'on agit.
Oublie les grades et les dans, chez nous c'est à la piété que le respect se donne.
Pitié, mon époque c'est le monde à l'envers.
L'estime va vers ceux qui t'invitent aux chemins de l'enfer.
Le mal sous le bien est vêtu. Ni vétéran ni novice, j'ai mes repères, distingue le vice et la vertu
mais quand ma jeunesse a l'arme à l'?il c'est qu'elle est à feu,
liée au pompe comme l'armée française avec le Famas.
Pour le terr-terr ça joue des coudes comme Likoud et Hamas.
C'est 1 pour la rue 2 & 3 pour la caillasse. Pas de messes basses nos musiques fusionnent avec l'espace.
Ramasse la maille qu'on voit combien le monde est vaste des Bahamas au Fuji-Yama.
Issy la vision est serrée ça parle embrouille et quar-pla, mon R.A.P. rappelle à la discipline et quand les énergies sont à plats, pour régler nos mômes on les secoue comme des Bretlings.
L'esprit hanté par la matière ça passe du Clio au BM et dans le Merco le feeling penche pour la Bentley.
Embrasse la liberté, que l'Etat ne t'enlace pas de ses bracelets, ils ont dépouillé nos terres, couillé jusqu'à la musique
aujourd'hui Eminem hier Elvis Presley. Que des sourires aiguisés des majors au Midem. Mais dans la rue qui nous aime ?
Des States à l'Europe, l'arnaque est idem, les frères n'ont jamais vu les 40 Acres et une mule.
Ici l'intégration est un simulacre éviter la misère stimule.
Tu veux m'situer, au Maghreb j'ai ma place parmi les mulâtres, couleur d'ocre, couleur d'ébène, Gnawa,
ma musique à mes racines se consacre, observe, les frontières africaines tracées à la règle,
la même pour le Moyen-Orient et les terres amérindiennes.
On réalise des rêves, d'autres s'inventent des vies que tu marches dans la droiture ou en dévies, c'qui est écrit est écrit. Croyant ou athée, on est des atomes parmi des atomes, une anatomie parmi des milliards. Le résultat amène à rester simple, l'humilité n'a jamais rendu ignare.
Mon son est pour les hommes libres, mon son est pour les bagnards ;
ceux qui lisent dans les regards avec une part de méfiance, parfois les mains tendues sont des poignards.
J'donne des conseils comme j'en saisis, gardé tout pour moi-même aurait taché ma foi d'un blasphème, une hérésie.
92 réseau connecté à l'infini les limites de mon département Hauts d'Seine n'ont pas muré mon esprit.
Ma ville à l'allure calme et sereine, mais polluée de la politique à la déchetterie,
rien n'est acquis les p'tits ont la mentalité des maquis, avec précision préparent les rimes comme Sachimis et Makis.
Black Musachi, chaque jour est une bataille on entretient les énergies comme au Tai-chi,
mais la mentalité est muay-thaï. Pas de magie, c'est avec foi qu'on agit.
Oublie les grades et les dans, chez nous c'est à la piété que le respect se donne.
Pitié, mon époque c'est le monde à l'envers.
L'estime va vers ceux qui t'invitent aux chemins de l'enfer.
Le mal sous le bien est vêtu. Ni vétéran ni novice, j'ai mes repères, distingue le vice et la vertu
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