Lyrics to Paris Perdu
Le compte à rebours me file le stress,
Je ferais tourner les aiguilles à linverse,
Je suis mort sept fois dans l'ivresse,
J'ai frappé, fumé sans cesse...
J'avais trop peur que tu me laisses,
Je ne suivrais plus dordres à la lettre.
Le désordre m'appelle et je dois admettre
Que je te veux, tout le temps,
Ecoute un peu, un instant,
Pari Perdu, je fous le camp.
Mais je m'en veux constamment,
J'ouvre les yeux, seulement,
Pari Perdu, je fous le camp.
Que les politiciens dansent autour du feu,
Que l'homme de la rue te lance un regard fiévreux,
Qu'un gosse te raconte son monde merveilleux,
Sans avoir lu 20 milles lieux...
Que nos Héros soient orgueilleux,
Que Monsieur Dupont soit amoureux,
Même si c'est sérieux, je m'en fous,
Je vis sans dessus dessous
Car je te veux, tout le temps,
Ecoute un peu, un instant,
Pari Perdu, je fous le camp.
Mais je m'en veux constamment,
J'ouvre les yeux, seulement,
Pari Perdu, je fous le camp.
Avant tout, je retourne chez ma dame de cur,
Elle s'exclame "Quel joli bouquet de fleurs!"
Elle me demande pourquoi je pleure,
Et tout en douceur...
Je lui explique que je n'ai plus de docteur,
Que je suis usé en profondeur.
Elle me comprend si bien pourtant.
Mais si ma vie est ailleurs
C'est que je te veux, tout le temps,
Ecoute un peu, un instant,
Pari Perdu, je fous le camp.
Mais je men veux constamment,
Jouvre les yeux, seulement,
Pari Perdu, je fous le camp.
Je n'ai plus besoin de consentement,
J'ouvre les yeux, à linstant,
Pari Perdu, je fous le camp.
En partant, j'ai volé tout ce qui te rongera,
Volé la flûte de ce paon ingrat,
J'ai été méchant n'est-ce pas?
Mais c'était juste pour toi...
Parce qu'il t'a emmené te balader,
Parce que le temps était de son côté,
Le joueur d'orgue qui m'appelle,
Faîtes brûler les chandelles!
Car je ne m'en veux plus maintenant,
Je ferme les yeux pour longtemps.
Pari Perdu, je fous le camp.
(Merci à Mélissa pour cettes paroles)
Je ferais tourner les aiguilles à linverse,
Je suis mort sept fois dans l'ivresse,
J'ai frappé, fumé sans cesse...
J'avais trop peur que tu me laisses,
Je ne suivrais plus dordres à la lettre.
Le désordre m'appelle et je dois admettre
Que je te veux, tout le temps,
Ecoute un peu, un instant,
Pari Perdu, je fous le camp.
Mais je m'en veux constamment,
J'ouvre les yeux, seulement,
Pari Perdu, je fous le camp.
Que les politiciens dansent autour du feu,
Que l'homme de la rue te lance un regard fiévreux,
Qu'un gosse te raconte son monde merveilleux,
Sans avoir lu 20 milles lieux...
Que nos Héros soient orgueilleux,
Que Monsieur Dupont soit amoureux,
Même si c'est sérieux, je m'en fous,
Je vis sans dessus dessous
Car je te veux, tout le temps,
Ecoute un peu, un instant,
Pari Perdu, je fous le camp.
Mais je m'en veux constamment,
J'ouvre les yeux, seulement,
Pari Perdu, je fous le camp.
Avant tout, je retourne chez ma dame de cur,
Elle s'exclame "Quel joli bouquet de fleurs!"
Elle me demande pourquoi je pleure,
Et tout en douceur...
Je lui explique que je n'ai plus de docteur,
Que je suis usé en profondeur.
Elle me comprend si bien pourtant.
Mais si ma vie est ailleurs
C'est que je te veux, tout le temps,
Ecoute un peu, un instant,
Pari Perdu, je fous le camp.
Mais je men veux constamment,
Jouvre les yeux, seulement,
Pari Perdu, je fous le camp.
Je n'ai plus besoin de consentement,
J'ouvre les yeux, à linstant,
Pari Perdu, je fous le camp.
En partant, j'ai volé tout ce qui te rongera,
Volé la flûte de ce paon ingrat,
J'ai été méchant n'est-ce pas?
Mais c'était juste pour toi...
Parce qu'il t'a emmené te balader,
Parce que le temps était de son côté,
Le joueur d'orgue qui m'appelle,
Faîtes brûler les chandelles!
Car je ne m'en veux plus maintenant,
Je ferme les yeux pour longtemps.
Pari Perdu, je fous le camp.
(Merci à Mélissa pour cettes paroles)
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