Lyrics to Serre-moi (feat. Vianney & Ibrahim Maalouf)
Embrasse-moi dessus bord, viens mon ange retracer le ciel
J'irai crucifier ton corps, pourrais-je dépunaiser tes ailes ?
T'embrasser, te mordre en même temps, enfoncer mes ongles dans ton dos brûlant
Te supplier de me revenir et tout faire, ô tout, pour te voir partir
Et viens, emmène-moi là-bas, donne-moi la main que je ne la prenne pas
Écorche mes ailes, envole moi et laisse-toi tranquille à la fois
Mille fois entrelaçons-nous et lassons-nous même en dessous
Serre-moi encore, serre-moi jusqu'à étouffer de toi
Il y a des salauds qui pillent le cœur des femmes
Et des femmes qui n'savent plus trop d'où l'amour tire son charme
Papillon de fleur en fleur, d'amour en amour de cœur
Ceux qui n'ont qu'une étoile ou ceux qui brûlent leur voile
J'aime tes larmes quand tu aimes ta sueur, le sang rendons-nous amants
Qui se passionnent et qui se saignent, j'aime quand mon écorché est vivant
Je ne donne pas long feu à nos tragédies à nos adieux
Reviens-moi, reviens-moi, tu partiras mieux comme ça
À force de se tordre, on en finirait par se mordre
À quoi bon se reconstruire, quand on est adepte du pire
Malgré nous, malgré nous, à quoi bon se sentir plus grand que nous
Deux grains de folie dans le vent, deux âmes brûlantes, deux enfants
Il y a des salauds qui pillent le cœur des femmes
Et des femmes qui n'savent plus trop d'où l'amour tire son charme
Papillon de fleur en fleur, d'amour en amour de cœur
Ceux qui n'ont qu'une étoile ou ceux qui brûlent leur voile
Embrasse-moi dessus bord, viens mon ange retracer le ciel
J'irai crucifier ton corps, pourrais-je dépunaiser tes ailes ?
T'embrasser, te mordre en même temps, enfoncer mes ongles dans ton dos brûlant
Te supplier de me revenir et tout faire, ô tout, pour te voir partir
Et viens, emmène-moi là-bas, donne-moi la main que je ne la prenne pas
Écorche mes ailes, envole moi et laisse-toi tranquille à la fois
Mille fois entrelaçons-nous et lassons-nous même en dessous
Serre-moi encore, serre-moi jusqu'à étouffer de toi
J'irai crucifier ton corps, pourrais-je dépunaiser tes ailes ?
T'embrasser, te mordre en même temps, enfoncer mes ongles dans ton dos brûlant
Te supplier de me revenir et tout faire, ô tout, pour te voir partir
Et viens, emmène-moi là-bas, donne-moi la main que je ne la prenne pas
Écorche mes ailes, envole moi et laisse-toi tranquille à la fois
Mille fois entrelaçons-nous et lassons-nous même en dessous
Serre-moi encore, serre-moi jusqu'à étouffer de toi
Il y a des salauds qui pillent le cœur des femmes
Et des femmes qui n'savent plus trop d'où l'amour tire son charme
Papillon de fleur en fleur, d'amour en amour de cœur
Ceux qui n'ont qu'une étoile ou ceux qui brûlent leur voile
J'aime tes larmes quand tu aimes ta sueur, le sang rendons-nous amants
Qui se passionnent et qui se saignent, j'aime quand mon écorché est vivant
Je ne donne pas long feu à nos tragédies à nos adieux
Reviens-moi, reviens-moi, tu partiras mieux comme ça
À force de se tordre, on en finirait par se mordre
À quoi bon se reconstruire, quand on est adepte du pire
Malgré nous, malgré nous, à quoi bon se sentir plus grand que nous
Deux grains de folie dans le vent, deux âmes brûlantes, deux enfants
Il y a des salauds qui pillent le cœur des femmes
Et des femmes qui n'savent plus trop d'où l'amour tire son charme
Papillon de fleur en fleur, d'amour en amour de cœur
Ceux qui n'ont qu'une étoile ou ceux qui brûlent leur voile
Embrasse-moi dessus bord, viens mon ange retracer le ciel
J'irai crucifier ton corps, pourrais-je dépunaiser tes ailes ?
T'embrasser, te mordre en même temps, enfoncer mes ongles dans ton dos brûlant
Te supplier de me revenir et tout faire, ô tout, pour te voir partir
Et viens, emmène-moi là-bas, donne-moi la main que je ne la prenne pas
Écorche mes ailes, envole moi et laisse-toi tranquille à la fois
Mille fois entrelaçons-nous et lassons-nous même en dessous
Serre-moi encore, serre-moi jusqu'à étouffer de toi