Symphony Lyrics

Vald

NQNT 3

Lyrics to Symphony
*Rot*
V.A.L.D, frelon
Fonka, pétasse
Wesh

Que tous les grailleurs de verges m'appellent "Myers, le vrai"
J'crame les tailleurs de près, tu fermes ta gueule, refrè
J'ai besoin d'mon backeur (Suik'on Blaze), d'une shneck et j'ai fait l'tour
Frustré, déchaîné fou, ça pue l'ter, c'est l'effet four
C'est vulgaire d'lécher mes boules, promis qu'ça passe le temps
Mon brolique tabasse le chanvre, vision : j'domine l'appartement
Profil de garnement, j'sodomise à balle de franges
Vomis ta carte membre, NQNT : l'appartenance
Et chaque matin, j'renfile l'armature et ça recommence
On devrait tuer les cons qui vé-trou leurs convenances désarçonnantes
J'ai l'bon plan, mes assonances font qu'les vagins transpirent
J'suis content, j'ai la semance sucé par un vampire
Enfin, une vampiresse ; la nuit, y'a mon gland qui reste
Dans l'encrier, ça retranscrit l'essentiel
Et y'a des gens qui rêvent d'errer dans l'ciel, chier sur les présidentielles
Tu rêves d'être célèbre comme un gentil gay
J'ai l'esprit torturé comme Voldo, l'averse en pôle position
J'ai fait, dans mon enfance, rien d'trop folichon
Alors j'emmerde vos horizons, j'vais finir claustro' sinon
Bien trop superstitieux, j'parle pas aux los' moribonds
La fresque est grotesque, j'écarte ses grosses fesses
Elle m'dit qu'son cul efface les 'blèmes, j'aime les promesses
J'éclate ses prothèses avec les dents, c'est l'projet par excellence
Et j'parle de déchéance, j'ai des proverbes sales et déments
C'est trop frais, ça les démange de comprendre Sullyvan
De fuir quand tu ris pas, c'est pire qu'une fusillade
Alors garde un œil sur tes couilles, ces vilaines s'égarent
Moi, j'connais la rue et la drogue chez I.N.C.H

Y'a pas d'mot pour décrire l'ampleur d'nos vies
La merde qui salit la blancheur d'nos nuits
Personne pense avec un trente feuilles d'olives
Personne pense avec un trente feuilles d'olives

J'ai pris des sacrées gifles, c'est pathétique, des fois, j'ai pris l'mort
Des bas-résilles fait qu'j'apprécie les soirées d'ivrognes
Quand j'r'-atterris, c'est facile, j'aime applaudir ma survie
Mec, j'ai résisté à tout, même aux hermaphrodites abrutis
Airbag horrible, à vue, j'ai foncé comme l'avant-dernier des cons
Salement, j'ai fait des bonds, attends, c'étaient des bons moments, ça
C'étaient des longs romans dans l'plein pays des grandes salopes
Avant d'les perdre, j'avais jamais détesté l'monde autant
Là, j'm'en vais rouler sans carrosse, fonce-dé dans la loge
J'suis pas certain d'avoir emprunté les bons chemins, perdu dans sa robe
Et nique sa mère, c'est bon, si j'me suis planté plus d'une fois
La de-mer fait un bon engrais, j'peux qu'évoluer sur du sale
Derrière toutes les déceptions, les doutes, sérieux, j'ai fait des rondes
Aux chiottes tous les fédérateurs, c'est pas mon truc d'lécher des joncs
C'est au moins ça d'sauver dans un passé pas si rose
Assez d'chasser la psychose à coup d'zbars et d'aléas d'cirrhose

Y'a pas d'mot pour décrire l'ampleur d'nos vies
La merde qui salit la blancheur d'nos nuits
Personne pense avec un trente feuilles d'olives
Personne pense avec un trente feuilles d'olives
Y'a pas d'mot pour décrire l'ampleur d'nos vies
La merde qui salit la blancheur d'nos nuits
Personne pense avec un trente feuilles d'olives
Personne pense avec un trente feuilles d'olives
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