Lyrics to Tempus Fugit
T'es comme une bougie qu'on a oublié d'éteindre dans une chambre vide
Un trou dans mon histoire, un flou dans ma mémoire
T'es comme une bougie qu'on a oublié d'éteindre dans une chambre vide
Je viens d'un peu partout, c'est chez vous que je suis tombé
T'es comme une bougie qu'on a oublié d'éteindre dans une chambre vide
Demain recule encore (...) c'est l'inconnu
T'es comme une bougie qu'on a oublié d'éteindre dans une chambre vide
[Refrain]
Alors que tu pensais que tout était figé
Qu'avec la montre aussi, on pouvait tricher
Que seul les idiots coulent et touchent le fond
La vie t'a infligé de bien tristes leçons
La fortune comme l'eau, entre les doigts elle glisse
Elle revient, elle brille, elle s'éteint, elle file
Mes souvenirs au fond des yeux posés
Jusqu'à la fin on ne pourra m'les voler
[Couplet 1]
Un matin de juillet d'un coup le ciel s'est assombri
Les collines alentours dévorées par l'incendie
Les pompiers m'ont dit "sors, la maison est menacée"
Je n'ai rien pris à part les photos dans mon sac entassées
Ton sourire sur le parvis à la mairie
Sur la plage Olek avec notre petit à Carry
Ma lune habillée en princesse du Pendjab
Et l'blond que j'ai filmé excité en tenue d'ninja
C'est mon trésor gardé dans le plus sûr des coffres
Il s'ouvre quand j'me perds dans mes yeux qui décollent
J'y mets des images depuis mes premiers jours d'école
Et les flèches intactes ou brisées que Cupidon décoche
Si tu emportes la voiture, le toit et les bijoux
Ce sera dur mais je me dirais que c'est le sort qui joue
Que tu viens pour délester, l'inné de l'acquis
Pour qu'une fois encore je médite la vanité de la vie
Que mes yeux fassent la part entre utile et futile
Pris dans le tourbillon, parfois la diff' est subtile
Quand on a la chance et qu'un grand soupir
C'est comme garder la grenade pour balancer la goupille
Trop d'honneur pour s'abaisser à faire les poches
Voyou fini par rimer avec pelle et pioche
Belle et moche : mon histoire oscille entre les deux
Un jour il a fallu que j'me décide entre mes jeux
[Refrain]
[Couplet 2]
Je suis le fils de l'homme qui nous a tant aimé
Perdu devant l'avenir, mutilé par mes heures perdues
Quand la colère et les noires pensées me percutent
Y'a que mon XXX qui sépare ton corps des perfus
Dans le creuset beaucoup jalousent la réussite
Pour dire le mal sur l'autre là ils se réunissent
Nombre demeurent où les armes à feu nous pressurisent
Rares sont les jours où les condés les élucident
Mon métier m'a fait croiser des chiens et des lions
Comme partout j'y ai vu des gars bien et des cons
Ceux qui piétinent tout pour les biens et les ronds
Dans la rue c'est tordu, donneraient les adresses et les noms
Tu peux me prendre mon larfeuille avec un glock petit
Armer ton courage et faire ce que la coke te dit
Mettre sur pieds la pire équipe qui puisse te suivre
Mec tu n'saurais braquer mon échoppe de souvenirs : le rap
J'en suis une allégorie, des placards trop p'tits
Moi j'plane hors catégorie
Pendant qu'ignorance et oppression font terrorisme
J'dors prés de la paix, là où mènent mes hiéroglyphes
Produit d'une époque où rien autour n'était carré
Où ça faisait "po po po po" dans les soirées
Les anciens pensaient qu'on était mal barrés
Tous évoquent le métro et sa bande de sacrés enfoirés
[Refrain]
[Outro x4]
T'es comme une bougie qu'on a oublié d'éteindre dans une chambre vide
Juste une tranche de vie
Un trou dans mon histoire, un flou dans ma mémoire
T'es comme une bougie qu'on a oublié d'éteindre dans une chambre vide
Je viens d'un peu partout, c'est chez vous que je suis tombé
T'es comme une bougie qu'on a oublié d'éteindre dans une chambre vide
Demain recule encore (...) c'est l'inconnu
T'es comme une bougie qu'on a oublié d'éteindre dans une chambre vide
[Refrain]
Alors que tu pensais que tout était figé
Qu'avec la montre aussi, on pouvait tricher
Que seul les idiots coulent et touchent le fond
La vie t'a infligé de bien tristes leçons
La fortune comme l'eau, entre les doigts elle glisse
Elle revient, elle brille, elle s'éteint, elle file
Mes souvenirs au fond des yeux posés
Jusqu'à la fin on ne pourra m'les voler
[Couplet 1]
Un matin de juillet d'un coup le ciel s'est assombri
Les collines alentours dévorées par l'incendie
Les pompiers m'ont dit "sors, la maison est menacée"
Je n'ai rien pris à part les photos dans mon sac entassées
Ton sourire sur le parvis à la mairie
Sur la plage Olek avec notre petit à Carry
Ma lune habillée en princesse du Pendjab
Et l'blond que j'ai filmé excité en tenue d'ninja
C'est mon trésor gardé dans le plus sûr des coffres
Il s'ouvre quand j'me perds dans mes yeux qui décollent
J'y mets des images depuis mes premiers jours d'école
Et les flèches intactes ou brisées que Cupidon décoche
Si tu emportes la voiture, le toit et les bijoux
Ce sera dur mais je me dirais que c'est le sort qui joue
Que tu viens pour délester, l'inné de l'acquis
Pour qu'une fois encore je médite la vanité de la vie
Que mes yeux fassent la part entre utile et futile
Pris dans le tourbillon, parfois la diff' est subtile
Quand on a la chance et qu'un grand soupir
C'est comme garder la grenade pour balancer la goupille
Trop d'honneur pour s'abaisser à faire les poches
Voyou fini par rimer avec pelle et pioche
Belle et moche : mon histoire oscille entre les deux
Un jour il a fallu que j'me décide entre mes jeux
[Refrain]
[Couplet 2]
Je suis le fils de l'homme qui nous a tant aimé
Perdu devant l'avenir, mutilé par mes heures perdues
Quand la colère et les noires pensées me percutent
Y'a que mon XXX qui sépare ton corps des perfus
Dans le creuset beaucoup jalousent la réussite
Pour dire le mal sur l'autre là ils se réunissent
Nombre demeurent où les armes à feu nous pressurisent
Rares sont les jours où les condés les élucident
Mon métier m'a fait croiser des chiens et des lions
Comme partout j'y ai vu des gars bien et des cons
Ceux qui piétinent tout pour les biens et les ronds
Dans la rue c'est tordu, donneraient les adresses et les noms
Tu peux me prendre mon larfeuille avec un glock petit
Armer ton courage et faire ce que la coke te dit
Mettre sur pieds la pire équipe qui puisse te suivre
Mec tu n'saurais braquer mon échoppe de souvenirs : le rap
J'en suis une allégorie, des placards trop p'tits
Moi j'plane hors catégorie
Pendant qu'ignorance et oppression font terrorisme
J'dors prés de la paix, là où mènent mes hiéroglyphes
Produit d'une époque où rien autour n'était carré
Où ça faisait "po po po po" dans les soirées
Les anciens pensaient qu'on était mal barrés
Tous évoquent le métro et sa bande de sacrés enfoirés
[Refrain]
[Outro x4]
T'es comme une bougie qu'on a oublié d'éteindre dans une chambre vide
Juste une tranche de vie
Songwriters: ABDOULGADRE DIABY, PHILIPPE TRISTAN FRAGIONE, SEBASTIEN DAMIANI
Publisher: Lyrics © Kobalt Music Publishing Ltd.
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