Lyrics to The Floor
Je peux me souvenir, âgé de sept ans
J'avais des poissons rouges qui tournaient en rond dans un bocal
J'aurais regardé la forêt brûler et écouter le vent souffler
Je me souviens la table, les rideaux et la fenêtre
Un marron, noir partout : les décorations, le goût
Par-dessus tout, je peux me souvenir de ma mère sourire
Usée et fanée, ma ville natale était rocailleuse
Plus que tout, ma mère voulait qu'on soit heureux
Un peu à manger et des allers et retours à l'hôpital
Elle avait raison, c'est mieux d'être heureux, si c'est possible
Mais mon vieux était tourmenté et faible
Il continuait de nous battre plus d'une fois par semaine
Il vivait comme un roi, bien que nous soyons salement pauvres
J'essayais d'être fort et d'être soucieux de mes désirs
Mon corps me faisait mal et mon âme souffrait d'une aiguille plantée en son sein
La longue ceinture de cuir avait remplacé sa langue
Ne sachant pas comment courir ou comment arrêter
La maisonnette blanche de banlieue était construite autour d'une fosse à serpents
A la fois un étonnement et l'effroi, l'orage et les éclairs
Ils étaient les sons et les visions de mille bagarres
Ma mère, le pauvre poisson, mettait en scène sans fin
Les mascarades et les parades pour nourrir le feu de l'Enfer
Désirant être heureuse, mais pendant tout ce temps là, battue
Me demandant toujours, 'Pourquoi tu ne souris jamais ?'
Et elle me montrait comment faire, mère et épouse
C'était le sourire le plus triste que je vis de ma vie entière
Il m'affligeait plus que le trépas, mais pour l'amour, j'essayais
Et un jour, tous les poissons rouges sont morts
Ouragan, feu de forêt, incontrôlables
Les yeux ouverts, flottant sur l'eau dans le bocal
Et quand mon père rentra à la maison, il passa la porte
Et il jeta les poissons au chat sur le sol de la cuisine
Et le vent mourut aussi, et j'étais toujours un enfant
Et chacun de nous trois regardait, pendant que ma mère souriait.
J'avais des poissons rouges qui tournaient en rond dans un bocal
J'aurais regardé la forêt brûler et écouter le vent souffler
Je me souviens la table, les rideaux et la fenêtre
Un marron, noir partout : les décorations, le goût
Par-dessus tout, je peux me souvenir de ma mère sourire
Usée et fanée, ma ville natale était rocailleuse
Plus que tout, ma mère voulait qu'on soit heureux
Un peu à manger et des allers et retours à l'hôpital
Elle avait raison, c'est mieux d'être heureux, si c'est possible
Mais mon vieux était tourmenté et faible
Il continuait de nous battre plus d'une fois par semaine
Il vivait comme un roi, bien que nous soyons salement pauvres
J'essayais d'être fort et d'être soucieux de mes désirs
Mon corps me faisait mal et mon âme souffrait d'une aiguille plantée en son sein
La longue ceinture de cuir avait remplacé sa langue
Ne sachant pas comment courir ou comment arrêter
La maisonnette blanche de banlieue était construite autour d'une fosse à serpents
A la fois un étonnement et l'effroi, l'orage et les éclairs
Ils étaient les sons et les visions de mille bagarres
Ma mère, le pauvre poisson, mettait en scène sans fin
Les mascarades et les parades pour nourrir le feu de l'Enfer
Désirant être heureuse, mais pendant tout ce temps là, battue
Me demandant toujours, 'Pourquoi tu ne souris jamais ?'
Et elle me montrait comment faire, mère et épouse
C'était le sourire le plus triste que je vis de ma vie entière
Il m'affligeait plus que le trépas, mais pour l'amour, j'essayais
Et un jour, tous les poissons rouges sont morts
Ouragan, feu de forêt, incontrôlables
Les yeux ouverts, flottant sur l'eau dans le bocal
Et quand mon père rentra à la maison, il passa la porte
Et il jeta les poissons au chat sur le sol de la cuisine
Et le vent mourut aussi, et j'étais toujours un enfant
Et chacun de nous trois regardait, pendant que ma mère souriait.
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