Lyrics to Transmission
Alors te voilà plongé dans le grand tout parmi ceux qui marchent debout, petit bout de moi tu dois savoir ici, de quoi ils sont capables, souriants si peu responsables ils en sont même à s'étonner, de tomber dans les trous qu'ils creusent, et trouvent leurs conneries valeureuses.
Il te faudra apprendre à cultiver le doute, pour mieux l'évincer ensuite, le chasser de ta route, par delà les déserts les plus arides, jusqu'au fond des impasses les plus sordides, n'oublie pas de ne pas être sage, la vanité n'est qu'un mirage.
Oh méfie-toi, ne te fie pas aux apparences, tout finit comme cela commence, au bout du tunnel la lumière comme le ventre de ta mère qui te rappelle et puis ça recommence.
Comme il est compliqué de se montrer tel qu'on est, fragile, qu'il est facile de jouer les malheureux et de juger les imbéciles et se croire au dessus de l'eau pour mieux ensuite se rabaisser. Et se trouver mauvais et con, comme nous l'apprend la religion.
Et quand tu comprendras enfin que ce grand tout ne tient rien, tu pourras prendre la vie comme elle vient, et l'adorer, d'un amour solide et sans fin. Il te faudra bien d'avantage, que de l'amour et du courage.
Oh méfie-toi, ne te fie pas aux apparences, tout finit comme cela commence, au bout du tunnel la lumière comme le ventre de ta mère qui te rappelle et puis ça recommence.
Rappelle-toi nul ne mérite une bride à son cou, tu n'es pas un agneau ni le petit du loup.
Oh méfie-toi, ne te fie pas aux apparences, tout finit comme cela commence, au bout du tunnel la lumière comme le ventre de ta mère qui te rappelle et puis ça recommence.
(Merci à Thaalos pour cettes paroles)
Il te faudra apprendre à cultiver le doute, pour mieux l'évincer ensuite, le chasser de ta route, par delà les déserts les plus arides, jusqu'au fond des impasses les plus sordides, n'oublie pas de ne pas être sage, la vanité n'est qu'un mirage.
Oh méfie-toi, ne te fie pas aux apparences, tout finit comme cela commence, au bout du tunnel la lumière comme le ventre de ta mère qui te rappelle et puis ça recommence.
Comme il est compliqué de se montrer tel qu'on est, fragile, qu'il est facile de jouer les malheureux et de juger les imbéciles et se croire au dessus de l'eau pour mieux ensuite se rabaisser. Et se trouver mauvais et con, comme nous l'apprend la religion.
Et quand tu comprendras enfin que ce grand tout ne tient rien, tu pourras prendre la vie comme elle vient, et l'adorer, d'un amour solide et sans fin. Il te faudra bien d'avantage, que de l'amour et du courage.
Oh méfie-toi, ne te fie pas aux apparences, tout finit comme cela commence, au bout du tunnel la lumière comme le ventre de ta mère qui te rappelle et puis ça recommence.
Rappelle-toi nul ne mérite une bride à son cou, tu n'es pas un agneau ni le petit du loup.
Oh méfie-toi, ne te fie pas aux apparences, tout finit comme cela commence, au bout du tunnel la lumière comme le ventre de ta mère qui te rappelle et puis ça recommence.
(Merci à Thaalos pour cettes paroles)
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