Lyrics to Traqué
Akhi, c'est juste un son, avant "l'apogée".
Les chroniques du 7.5 Volume 2.
Ici j'étouffe comme l'asthmatique qui est allergique à l'oxygène.
Ils m'empêchent de parler, faut bien que j'expire les mots qui gênent.
& vu les portes qui se ferment tu restes qué-blo dans l'profit d'air.
L'herbe s'enflamme assez vite, c'est l'cas avec une grosse citerne (Merde)
Si t'as une mère évite que ta tête goûte la terre ferme,
Même si t'as pas une tune, t'as saisis, qu't'as tout à perdre frère.
Toute la presse nous coule, souvent ça coûte la tête
Certes, tant que j'leur vend pas mon corps j'm'en bat les couilles de tout ça,
Même j'reste fier c'pour ça qu'j'm'exerce, est-ce pour ça qu'j'excelle ?
T'es responsable d'être vierge ! Où est ce qu'on va ? J'laisse faire.
Masta ressaisis toi, tu gagnes ce combat c'est clair !
Ils sont grands parce que t'es à genoux, lève toi : ils tomberont par terre.
Beaucoup de contestataires dans le fond ne sont bons qu'à s'taire,
En fait on est comme des moutons aveuglés donc on la ferme !
Les profs font des guerres intellectuelles, j'suis du-per dans des débats, des arguments qui justifient l'adultère.
(Refrain x2) :
J'bougerai bien pour prendre le large.
Mais quiconque retourne sa veste trahi son gang de base,
Tous rêvent qu'on crève, bande de lâches !
J's'rais pas tant tenace si un jour la chance me lâche. (DEBOUT)
Ceux qui vendent d'la Sesse volent le sourire de ceux qui la prenne, stress pour pouvoir obtenir ce qui les apaisent.
Pour ceux qui attestent qu'on sent la mort comme la peste.
J'suis blanc & tu me détestes, j'suis comme les murs de ta tèce.
J'ai grave envie d'bédave pourquoi mon corps réclame sa mort ?
J'suis connu mais j'prend l'métro j'm'en bat les couilles j'ai pas d'gamos.
On a fait l'son "désolé" car on sait bien qu'nos sons t'amoches.
T'as trop parlé donc pour cracher tu dois racler le fond d'ta gorge,
Pour qu'tu te taises faut qu'on t'égorges, impulsifs donc on déborde.
On est des potes qui baisent le Biz tout en étant désordonnés,
Tranquille dans l'ventre de ma mère & dès qu'j'suis ti-sor, j'ai constaté qu'ces cons d'adultes étaient en quête de discordes.
Bête, on s'dit fort, hop, un moustique nous rend faible, un président xénophobe c'est comme un fou qui t'enseignes.
On a pas percé trop tôt, y a tous mes bouts qui gambergent.
Y a des groupies qui m'encerclent mais faut pas que j'oublie l'enfer.
On est jamais solide tant qu'on dépend d'un bout d'papier, on est qu'pour les gardiens d'la paix décide enfin d'nous foutre la paix.
La rue a déteints sur nous tous pourtant j'suis l'seul à être blanc !
J'ai p't'être vesqui ses coups d'crasse, est ce que ma gueule est étanche ?
Elle t'hypnotises, tu la guette, elle te tente.
Tu finis bédotiv' : tes potes te trouvent inquiétant !
Y a personne qui cotise, quand t'es mort, pour ta tombe ! Tu dois déjà beaucoup de Biz, même si t'es dead ça compte !
(Refrain x2) :
J'bougerai bien pour prendre le large.
Mais quiconque retourne sa veste trahi son gang de base. (DEBOUT)
Tous rêvent qu'on crève, bande de lâches !
J's'rais pas tant tenace si un jour la chance me lâche. (DEBOUT)
J'pouvais pas partir sans t'parler des keufs pourris,
donc celle là c'est pour Arnold, donc celle là Larbi,
donc celle là c'est pour Bylka qui a bien salit les rues d'ma ville.
Passe pas l'pouvoir à un seul homme il en abusera toute sa vie.
J'baigne dans la merde, il est temps de nager !
On passe notre temps à décrasser ce qu'ils essayent tant de tâcher, comme une pute qui vend sa chair mais tente de s'en détacher.
T'aimerai refaire ta vie mais y a trop de temps qui est passé.
(Refrain x2) :
J'bougerai bien pour prendre le large.
Mais quiconque retourne sa veste trahi son gang de base. (DEBOUT)
Tous rêvent qu'on crève, bande de lâches !
J's'rais pas tant tenace si un jour la chance me lâche. (DEBOUT)
(Merci à FrogOups pour cettes paroles)
Les chroniques du 7.5 Volume 2.
Ici j'étouffe comme l'asthmatique qui est allergique à l'oxygène.
Ils m'empêchent de parler, faut bien que j'expire les mots qui gênent.
& vu les portes qui se ferment tu restes qué-blo dans l'profit d'air.
L'herbe s'enflamme assez vite, c'est l'cas avec une grosse citerne (Merde)
Si t'as une mère évite que ta tête goûte la terre ferme,
Même si t'as pas une tune, t'as saisis, qu't'as tout à perdre frère.
Toute la presse nous coule, souvent ça coûte la tête
Certes, tant que j'leur vend pas mon corps j'm'en bat les couilles de tout ça,
Même j'reste fier c'pour ça qu'j'm'exerce, est-ce pour ça qu'j'excelle ?
T'es responsable d'être vierge ! Où est ce qu'on va ? J'laisse faire.
Masta ressaisis toi, tu gagnes ce combat c'est clair !
Ils sont grands parce que t'es à genoux, lève toi : ils tomberont par terre.
Beaucoup de contestataires dans le fond ne sont bons qu'à s'taire,
En fait on est comme des moutons aveuglés donc on la ferme !
Les profs font des guerres intellectuelles, j'suis du-per dans des débats, des arguments qui justifient l'adultère.
(Refrain x2) :
J'bougerai bien pour prendre le large.
Mais quiconque retourne sa veste trahi son gang de base,
Tous rêvent qu'on crève, bande de lâches !
J's'rais pas tant tenace si un jour la chance me lâche. (DEBOUT)
Ceux qui vendent d'la Sesse volent le sourire de ceux qui la prenne, stress pour pouvoir obtenir ce qui les apaisent.
Pour ceux qui attestent qu'on sent la mort comme la peste.
J'suis blanc & tu me détestes, j'suis comme les murs de ta tèce.
J'ai grave envie d'bédave pourquoi mon corps réclame sa mort ?
J'suis connu mais j'prend l'métro j'm'en bat les couilles j'ai pas d'gamos.
On a fait l'son "désolé" car on sait bien qu'nos sons t'amoches.
T'as trop parlé donc pour cracher tu dois racler le fond d'ta gorge,
Pour qu'tu te taises faut qu'on t'égorges, impulsifs donc on déborde.
On est des potes qui baisent le Biz tout en étant désordonnés,
Tranquille dans l'ventre de ma mère & dès qu'j'suis ti-sor, j'ai constaté qu'ces cons d'adultes étaient en quête de discordes.
Bête, on s'dit fort, hop, un moustique nous rend faible, un président xénophobe c'est comme un fou qui t'enseignes.
On a pas percé trop tôt, y a tous mes bouts qui gambergent.
Y a des groupies qui m'encerclent mais faut pas que j'oublie l'enfer.
On est jamais solide tant qu'on dépend d'un bout d'papier, on est qu'pour les gardiens d'la paix décide enfin d'nous foutre la paix.
La rue a déteints sur nous tous pourtant j'suis l'seul à être blanc !
J'ai p't'être vesqui ses coups d'crasse, est ce que ma gueule est étanche ?
Elle t'hypnotises, tu la guette, elle te tente.
Tu finis bédotiv' : tes potes te trouvent inquiétant !
Y a personne qui cotise, quand t'es mort, pour ta tombe ! Tu dois déjà beaucoup de Biz, même si t'es dead ça compte !
(Refrain x2) :
J'bougerai bien pour prendre le large.
Mais quiconque retourne sa veste trahi son gang de base. (DEBOUT)
Tous rêvent qu'on crève, bande de lâches !
J's'rais pas tant tenace si un jour la chance me lâche. (DEBOUT)
J'pouvais pas partir sans t'parler des keufs pourris,
donc celle là c'est pour Arnold, donc celle là Larbi,
donc celle là c'est pour Bylka qui a bien salit les rues d'ma ville.
Passe pas l'pouvoir à un seul homme il en abusera toute sa vie.
J'baigne dans la merde, il est temps de nager !
On passe notre temps à décrasser ce qu'ils essayent tant de tâcher, comme une pute qui vend sa chair mais tente de s'en détacher.
T'aimerai refaire ta vie mais y a trop de temps qui est passé.
(Refrain x2) :
J'bougerai bien pour prendre le large.
Mais quiconque retourne sa veste trahi son gang de base. (DEBOUT)
Tous rêvent qu'on crève, bande de lâches !
J's'rais pas tant tenace si un jour la chance me lâche. (DEBOUT)
(Merci à FrogOups pour cettes paroles)
Songwriters:
Publisher:
Powered by LyricFind
Publisher:
Powered by LyricFind