Lyrics to Une Saison De Trop
Elle a laissé juste un cil
Sur sa joue et c'est pour qu'il
La regarde encore une fois
Comme elle a plissé des yeux
Il a deviné son voeu
C'est le même a chaque fois
Un voyage
Et des ballons sur le rivages
Un râteau, une pelle et un seau
Un enfant sur le dos
Comme il peine
A offrir un prince à la reine
La belle quittera le château
Elle partira bientôt
Comme il n'ose pas lui dire
Tout finit dans un soupir
C'est le même à chaque fois
Et comme il fallait un geste
Il est pour celui qui reste
Glissera entre ses doigts
Et elle file
Vers une romance, un exil
Cherchera toujours le repos
Un enfant sur le dos
Elle voyage
Osera-t-il prendre le large
Son corsaire ou son hidalgo
Qu'elle aimera bientôt
Que la vie lui pardonne
Vers la fin de l'automne
De suivre les oiseaux
Et de semer les hommes
De redouter en somme
Une saison de trop
Se réveillent les caresses
Sous l'orage et les traverses
Quand le beau temps reviendra
Elle retrouvera le fil
Et le printemps sur son île
Qu'un autre partagera
Elle voyage
Et les cris d'enfants sur la plage
Trouveront enfin pour écho
Un enfant sur son dos
Le temps passé
Le vent frissonne
L'hiver menasse
Mais son corsaire, ou son hidalgo
Arrivera bientôt
Que la vie lui pardonne
Vers la fin de l'automne
De suivre les oiseaux
Et de semer les hommes
De redouter en somme
Une saison de trop
(Merci à adriien pour cettes paroles)
Sur sa joue et c'est pour qu'il
La regarde encore une fois
Comme elle a plissé des yeux
Il a deviné son voeu
C'est le même a chaque fois
Un voyage
Et des ballons sur le rivages
Un râteau, une pelle et un seau
Un enfant sur le dos
Comme il peine
A offrir un prince à la reine
La belle quittera le château
Elle partira bientôt
Comme il n'ose pas lui dire
Tout finit dans un soupir
C'est le même à chaque fois
Et comme il fallait un geste
Il est pour celui qui reste
Glissera entre ses doigts
Et elle file
Vers une romance, un exil
Cherchera toujours le repos
Un enfant sur le dos
Elle voyage
Osera-t-il prendre le large
Son corsaire ou son hidalgo
Qu'elle aimera bientôt
Que la vie lui pardonne
Vers la fin de l'automne
De suivre les oiseaux
Et de semer les hommes
De redouter en somme
Une saison de trop
Se réveillent les caresses
Sous l'orage et les traverses
Quand le beau temps reviendra
Elle retrouvera le fil
Et le printemps sur son île
Qu'un autre partagera
Elle voyage
Et les cris d'enfants sur la plage
Trouveront enfin pour écho
Un enfant sur son dos
Le temps passé
Le vent frissonne
L'hiver menasse
Mais son corsaire, ou son hidalgo
Arrivera bientôt
Que la vie lui pardonne
Vers la fin de l'automne
De suivre les oiseaux
Et de semer les hommes
De redouter en somme
Une saison de trop
(Merci à adriien pour cettes paroles)
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